André Baechler a écrit :Bonjour

En enseignant le Reiki, peut-on fumer ? Consommer de l'alcool ? Avoir une vie sexuelle ? Manger du chocolat noir aux amandes ? ...? Pour ma part sachez que je m'autorise quand même cette dernière variante

Je m'autorise aussi les trois dernières variantes,

(quoique je préfère les noisettes aux amandes), mais je ne suis pas maître.
Si j'étais appelée à le devenir un jour, je ne crois pas que cela changerais grand chose à la gourmandine que je suis.
Pourtant, je dois vous avouer constater une différence depuis mon initiation : ma tolérance à l'alcool a diminué, je suis plus vite pompette et, par voie de conséquence, ma consommation aussi...on pourrait transposer facilement avec la cigarette à ceci près que je ne suis pas accro à l'alcool et qu'il ne m'est pas difficile de modérer mes élans. C'est tout naturellement que cela se fait. En revanche, j'ai toujours autant de plaisir à goûter un bon cru ou un 'ti peket ou une bonne poire après le repas...
Comme le disent les uns et les autres, nous sommes tous en chemin, et Martine a raison de souligner que ce chemin peut prendre du temps, et ce n'est pas de nous même que nous transmettons, donc il ne devrait pas y avoir d'incidence... mais là aussi il y a une différence entre fumer et prendre un verre d’alcool, ce dernier a une incidence sur l'attitude juste du donneur ou les barrières que se met un receveur, en cela l'alcool dans le cadre d'un soin ou d'un stage peut devenir problématique.
Cela je l'ai vécu lors d'une de mes initiations où la nuit entre les deux jours, j'étais hébergée sur un camp médiéval proche de mon lieu de stage. J'avais promis l'hypocras à ceux qui m'ont logée, et le samedi soir, il est traditionnel sur les camps, quand le public est parti et que nous sommes entre nous, de goûter, au cours des ripailles, les breuvages préparés par les uns et les autres. J'ai senti une nette différence dans ma façon de recevoir le lendemain de ces agapes...
Donc, ma pratique a pris cette nouvelle donne en compte...
