
Suite à divers témoignages, j'ai pu remarquer que les personnes ayant un "grand" besoin sexuel se qualifient souvent elles-mêmes d'addicts.
J'y lis aussi parfois comme une culpabilité ou une tare qui semble lourde à porter.
Qui dit quelle est la "consommation dites normale" ?
Qui peut juger du trop ou du trop peu ?
Ces réponses me semblent tout simplement subjectives et forcément en lien avec le vécu, les croyances ou les besoins de celui qui entend, lit ou découvre la confidence d'une personne se disant "sexuellement accro".
Le besoin ou l'envie sexuelle est-elle à quantifier et limiter ?? (je ne parle pas des pratiques, juste des besoins).
Le problème n'est-il pas révélé quand on fait appel à la notion du couple, tout simplement ? parce que là, l'un découvre qu'il est très demandeur et l'autre pas ou peu..
N'y a-t-il pas tout simplement un conflit entre le concept des valeurs acquises du couple et les concepts actuels de l'Amour inconditionnel et de la sexualité ?
Ces questions me viennent parce que je ne vois pas pourquoi juger telle ou telle personne de "trop" de sexualité. Chacun fait son chemin et la sexualité en fait partie intégrante. Image un peu facile, j'en conviens mais doit-on juger celui qui consomme trop de sexualité comme celui qui boit trop, mange trop, travaille trop etc ??? Ces excès-là sont dangereux pour la santé physique, mentale et pour l'entourage mais.. trop de sexualité est-ce un danger pour quelqu'un ???
Il est clair que dans mes questions, je ne parle pas de déviances punies par des lois, mais juste de sexualité entre personnes consentantes.
Je me réjouis de lire vos réponses et vos avis
Belle journée de lumière



