A propos des larmes
Posté : 21.02.2010 11h00
Il est parfois…
Il est parfois des musiques, un chant d'oiseau, les caresses du vent, le bruissement de l'eau suintant à travers les couches profondes du sol, les paroles silencieuses d’une forêt, un appel, une voix, un visage, un regard profond, une présence...
Il est parfois ces états de grâce qui nous ouvrent à la beauté de l'univers, à l'infiniment grand et nous permettent un court moment de toucher à l'immortalité, de côtoyer les étoiles...
Il est parfois ces instants où le beau, la lumière, la légèreté viennent nous traverser, imprégner la moindre parcelle de notre corps, pour déclencher soudainement en nous une tristesse presque aussi infinie, où l'obscurité et la pesanteur reviennent en mémoire...
Et les larmes se mettent à couler, alors que l'extase est en nous...
Laissons les couler…
Sans doute qu’il y ait des lieux en nous, de nous-mêmes que nous n'avons pas encore explorés, que nous n'avons pas habités...
Etrange...
Comme si dans chaque larme, souvenir de grand froid, d'ombre et d'obscurité, habite une promesse de lumière, de paix, de sérénité et de bonheur...
S'il faut pleurer, versons des larmes...car les larmes comme les rires et les soupirs, expriment toujours silencieusement ce que nos paroles ne peuvent dire..
Laissons l'amour explorer des lieux de nous-mêmes qui ont besoin d'être explorés...
Ces parties de nous-mêmes se réveillent alors,
Ces parties blessées retrouvent alors la parole et le droit d'exister...
Et nos volets et nos portes de s’ouvrir grands à la Vie
.....
Il est parfois des musiques, un chant d'oiseau, les caresses du vent, le bruissement de l'eau suintant à travers les couches profondes du sol, les paroles silencieuses d’une forêt, un appel, une voix, un visage, un regard profond, une présence...
Il est parfois ces états de grâce qui nous ouvrent à la beauté de l'univers, à l'infiniment grand et nous permettent un court moment de toucher à l'immortalité, de côtoyer les étoiles...
Il est parfois ces instants où le beau, la lumière, la légèreté viennent nous traverser, imprégner la moindre parcelle de notre corps, pour déclencher soudainement en nous une tristesse presque aussi infinie, où l'obscurité et la pesanteur reviennent en mémoire...
Et les larmes se mettent à couler, alors que l'extase est en nous...
Laissons les couler…
Sans doute qu’il y ait des lieux en nous, de nous-mêmes que nous n'avons pas encore explorés, que nous n'avons pas habités...
Etrange...
Comme si dans chaque larme, souvenir de grand froid, d'ombre et d'obscurité, habite une promesse de lumière, de paix, de sérénité et de bonheur...
S'il faut pleurer, versons des larmes...car les larmes comme les rires et les soupirs, expriment toujours silencieusement ce que nos paroles ne peuvent dire..
Laissons l'amour explorer des lieux de nous-mêmes qui ont besoin d'être explorés...
Ces parties de nous-mêmes se réveillent alors,
Ces parties blessées retrouvent alors la parole et le droit d'exister...
Et nos volets et nos portes de s’ouvrir grands à la Vie
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