Je m'appelle Frédéric, j'ai 44 ans et vis dans la banlieue bruxelloise.
C'est un long cheminement de vie qui m'a fait ouvrir la porte du Reiki.
En résumant très fort :
J'ai jusqu'à l'âge de 33 ans suivi la voie en grande partie préformatée par ma famille, mon éducation et mon environnement immédiat, enfouissant profondément mes vrais désirs personnels, affectifs et professionnels ainsi que les colères que je n'avais pas la possibilité d'exprimer face à ce modèle étouffant, réducteur, souvent violent, voire castrateur. Devant un mal-être généralisé et un mariage qui périclitait un peu plus chaque jour, j'ai commencé un grand travail sur moi-même. Il a duré près de sept ans (et en fait ne s'arrêtera jamais) ; quelque part, le plus beau cadeau que je me sois fait dans cette vie : il m'a permis de façonner mon existence en fonction de mes propres aspirations.
Le chemin est resté semé d'embûches mais j'avais maintenant ma propre boîte à outils pour y faire face : chaque épreuve, aussi douloureuse soit-elle, devenant avec le recul un enseignement profond et la vision que j'en retirais de moi-même dans le miroir de la vie se faisant toujours plus nette et plus nuancée.
Après un divorce bienvenu, une très belle relation de cinq ans avec un compagnon, merveilleuse école de vie.
J'ai quitté le carcan du système judéo-chrétien et ai intégré de nouveaux repères spirituels, diminué de moitié mon temps de travail (comme interprète) pour me lancer dans des activités centrées sur le bien-être et le développement personnel. Je découvre puis me forme au taichi et au chi kung (que j'enseigne maintenant). Reprise également du chemin de l'école : celle de la psychanalyse et de la psychothérapie (je travaille aujourd'hui également dans ce secteur).
Chemin faisant, j'ai rencontré plusieurs personnes qui m'ont parlé du Reiki, soit parce qu'elles avaient reçu des soins, soit parce qu'elles en donnaient. J'avais l'impression d'une part qu'elles me parlaient de choses que je connaissais (par le travail du Chi, notamment) et d'autre part qu'une petite voix m'appelait et me disait : "Vas-y ; c'est là que la route te mène..."
Alors, voilà, pour ne pas faire comme Monsieur Jourdain qui pratiquait la prose sans le savoir, j'ai demandé à une amie-professeur si elle voulait bien m'initier et ce fut fait pour son plus grand plaisir et... le mien !
C'est alors que j'ai découvert le site d'André et ce forum...
Je suis très heureux d'entrer parmi vous dans ce lieu de partage que je découvre un peu à la fois.
Amicalement,
Frédéric
