bonjour à tous,
et bien au fur et à mesure de la lecture de ce sujet, je partageais vos idées déjà émises quant à un protocole peut-être trop "cadré" pour le reiki qui lui, n'en n'a pas puisqu'il n'a pas de "limites" et j'avoue que le concept de base serait une petite merveille dans l'avancement de l'ouverture générale mais, bien que je regrette ce ressenti, j'émets en effet un doute sur l'objectivité complète de l'étude.. pourtant, je suis d'un naturel optimiste
j'allais amener l'idée d'intervenir là où déjà les gens sont plus sensibles au vécu des personnes et à leur bien-être général : les centres de douleurs, comme on les appelle, et voilà que Lorraine y a déjà fait référence
en effet, pour avoir déjà fait appel à ces services, il est impressionnant d'y voir que les patients sont entendus d'une toute autre manière et que le concept de globalité y est déjà installé. A mon avis, si un service peut être sensible au reiki c'est bien celui-ci.
par contre, j'imagine mal que le reiki puisse entrer en milieu hospitalier sans avoir à montrer encore plus de preuve que toutes les "sciences" médicales et surtout, si c'est pour arriver au final à avoir des réglementations sur les formations et les droits d'utilisation, comme toutes les spécialités alors je préfère nettement qu'on en reste là où on en est maintenant.
Peut-être qu'un jour il sera plus facile d'amener le reiki en milieu hospitalier, mais pour le moment, j'ai très peur comme le dit Pierre que la manoeuvre soit un auto-goal. (il suffit de voir ce que le législateur a fait de l'osthéopathie...)