Page 2 sur 2

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 23.05.2011 21h23
par André Baechler
Bonjour :O:
Francesca a écrit :Par contre l'enfant ne sait pas faire une demande de reiki ou même d'initiation (voir plus haut), et il me semble que l'initiation n'est pas utile dans cette situation, si l'accord de l'enfant est ressenti pour des séances, cela peut suffire, non ?
L'enfant sait très bien demander un soin ou une initiation Reiki, souvent bien mieux qu'un adulte ^^

Dans le cas d'un traitement à distance, l'autorisation de l'enfant suffit, alors que pour un traitement direct sur l'enfant, il faut impérativement l'autorisation des parents.

¦3¦

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 25.05.2011 10h45
par Francesca
Pourquoi ne pas initier l'un des parents plutôt que l'enfant autiste ?
Si l'enfant n'a pas accès au langage, il s 'exprime autrement mais dans ce cas il faut pouvoir entrer en communication et avoir accès à son langage.
Je ne me sens pas capable de cela mais d'autres peut-être ?

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 29.05.2011 14h58
par Francesca
Je comprends ton point de vue, puisque tu inities les enfants au reiki.
Je viens de découvrir cette possibilité et je n'ai jamais envisagé que cela se fasse car étant adulte (il paraît), et que mes initiations se sont passées avec grosses grosses secousses, et que mes questions fusent.
Alors qu'en est-il des enfants et de plus autistes (tous n'ont pas le langage verbal) ce qui représente pour moi des freins.

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 29.05.2011 20h30
par Bruno
Pour les enfants leur mental est bien moins chargé que celui des adultes, et ils ont vécu moins de choses... dans cette vie en tous cas. Pour les enfants autistes, à priori je ne vois pas en quoi cela serait différent, je suppose même que cela pourrait les aider à se réunir dans leur globalité (enveloppe corporelle), ce qui leur fait défaut.

Je n'ai jamais initié d'enfants, par contre j'aurais tellement aimé l'être (initié) bien bien plus jeune ^^ car l'adulte cherche toujours à comprendre pourquoi la rivière coule dans ce sens et pourquoi les saumons la remontent etc. Tandis que les enfants, je ne dis pas qu'ils n'essaient pas de comprendre le pourquoi du comment... mais ils la regardent couler différemment, sans oeil critique, dubitatif ou sceptique... ils la regardent couler... tout simplement :)

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 29.05.2011 22h37
par André Baechler
Bonjour :O:
Francesca a écrit :Si l'enfant n'a pas accès au langage, il s 'exprime autrement mais dans ce cas il faut pouvoir entrer en communication et avoir accès à son langage.
Le Reiki ne nécessite aucunement l'accès au langage puisqu'il agit bien au delà du mental. Le but du Reiki auprès d'un enfant autiste est simplement de l'amener à une meilleure interaction sociale.

Il est sans doute important de préciser qu'un enfant autiste n'est en aucun cas handicapé face au Reiki ^^

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 19.09.2012 23h49
par Qi_Strength
Bonsoir

Nouveau venu sur ce forum (cf ma présentation), je me permets de relancer ce sujet un peu ancien pour savoir si d'autres membres ont des expériences récentes de reiki avec des enfants autistes.

Je m'occupe depuis plus d'un an, en tant que bénévole, d'une petite fille autiste de 5 ans que je vois tous les week-ends.
Depuis le début du programmme elle a fait des progrès très significatifs sur bien des plans (perception, motricité, contact ...) mais beaucoup reste à faire.

Je vais prochainement passer mon initiation 1er degré et je voudrais savoir, à partir des expériences de membres plus avancés, ce que je pourrai faire pour faire profiter cette petite des bienfaits du reiki.

Merci par avance de vos retours. C'est pour la bonne cause ... ;)

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 20.09.2012 8h48
par Philo(mène)
"Suis ton coeur"
"Ne considère rien comme acquis"

"Rassure-là si besoin"


Reste l'esprit ouvert, on ne sait jamais.

Pour ce qui me vient à l'esprit, là, ce matin.

Re: Le Reiki et l'autisme

Posté : 20.09.2012 8h58
par Philo(mène)
Et aussi : si tu as des informations à lui transmettre (règles du jeu ou autre), qu'elles soient fiables et vérifiables par elle-même en d'autres circonstances - quand elle sera avec d'autres personnes qui auraient peut-être d'autres manières de jouer, à l'école, à la garderie (centres de loisirs ou autres), au parc ou au square.

Et bien penser que ce qu'elle apprend, là, maintenant, lui servira (ou pas : tout n'est pas toujours utile) toute sa vie : que ce soit à faire du vélo ou apprendre à lire, compter, etc.
Comme pour tout enfant mais encore plus, si je puis dire.

Tabler sur ses compétences et ses talents déjà acquis pour aller plus loin.
Et faire des retours en arrière sur des choses simples et basiques (pour elle) pour faire baisser la pression quand nécessaire. Rigoler.

Ne présager de rien.