
Ton parcours est parlant. Ce manque de repères, ce manque de contact, cet isolement dans lequel j'ai vécu mes premiers pas de Reiki, tu l'exprimes bien.
J'ai lu, cherché des réponses à mes questions par moi-même, et c'est le site d'André qui m'a éclairé voilà déjà quelques petites années. Ce n'était pas encore un forum de discussion, et je parcourais les pages et les regards, et j'apprenais ...
Mes trois niveaux se sont passés comme çà, avec une pratique de proximité, un contact grâce aux soirées partage mensuelles, mais un cheminement intérieur, seule.
Quand il y a un peu plus d'un an, le forum de discussion est né, j'ai poussé la porte d'un lieu familier, comme une évidence, titre de ma présentation. Vous connaissez la suite.
Il y a un mois, je rencontrais André pour la deuxième fois, juste avant de sauter dans mon avion pour le Népal. Mes aspirations à la maitrise, présentent depuis quelques temps, ne visaient qu'une avancée personnelle. Enseigner et transmettre n'était pas encore écrit en lettre de feu dans mon coeur.
Ce voyage au Népal a ancré en moi d'autres valeurs, et mis en résonnance d'autres timbres.
Ma toute récente rencontre avec Alain et Marianne a confirmé cette envie de partage et de transmission.
Un troisième déclic, en cette journée de jeudi, avec le départ tout auréolé de lumière, de savoir et d'énergie, d'une dame qui a compté pour moi.
Il se trouve qu'hier, mon enseignant Reiki m'a contacté par téléphone, suite à une idées de dédoubler les soirées partages, afin de ne laisser personne sur liste d'attente. Le cordon ombilical est entrain de se couper, car il m'a invité à créer et animer mes propres soirées partages. Il a intégré que mon chemin Reiki allait continuer, et sans lui.
Alors, de belles pierres plates sont entrain de créer un gué dans la rivière incertaine, et j'ai envie d'y aller, de poser mes pieds en confiance, en équilibre avec ce que je ressens au plus profond de moi.
J'ignore si je suis toujours dans le contexte et le sujet. Accueillez mes mots comme ayant eu besoin de sortir tels quels ... Merci

Annie

