En partie aussi mais pas en totalité non plus car j'ai effectué mon 1er degré et 2ème degré chez une enseignante en 1995 puis ai continué chez une autre pour la maîtrise, puis encore la formation continue chez un autre ! La diversité permet d'agrandir le coeur
Et oui, André, je te rejoins sur le fait qu'il y a des personnes (thérapeute ou enseignant) chez qui je n'irai pas non plus. Encore une fois, l'agrégation ASCA n'est pas un gage de
qualité du thérapeute ou enseignant mais une attestation de la formation effectuée.
Dans un traitement, cela va bien au-delà d'une agrégation mais je reste toujours prudente face à l'opportunisme de certaines personnes qui s'engouffrent dans le créneau "thérapie" à la va-vite. Il ne faut pas oublier que les personnes qui viennent en séance sont souvent en souffrance ou en état de fragilité. La formation continue exigée par l'ASCA oblige le thérapeute à se former dans ce domaine vaste des thérapies et empêche le tourisme par un thérapeute du dimanche

Mais encore une fois, j'ai vu des élèves de 1er degré, non agréé, faire de merveilleux traitements de Reiki et ai aussi vu des personnes bardées de diplômes faire des traitements "aseptisés".
En tant qu'école agréée, j'ai à coeur de former des élèves qui seront de bons praticiens en Reiki, qui travailleront avec le coeur, qui se feront agréés ou non, mais je tiens surtout au respect de l'enseignement de Mikao Usui. Et je sais que toi, André, tu as aussi ce respect. Nos différences dans le fait d'être agréé ou non ne font que renforcer une attitude respectueuse l'un envers l'autre et ça, c'est la magie du Reiki
Telle est la vie...yin et yang...