Je dirai plutôt que "la douleur"Bruno a écrit :Bonjour, pratique effectivement pour soulager momentanément, mais ça ne dure pas justement car il nous faut voire la vérité en face, c'est une règle à laquelle on ne peut échappergwendoval a écrit :J'apprécie particulièrement car on n'a pas besoin de connaitre la raison profonde de notre souffrance pour la soulager.

Selon mon point de vue, un véritable travail sur soi en profondeur, libératoire, ne se fait pas sans "douleurs".
 vient de l'auto- jugement et de l'intensité de l'attention que nous y avons mis jusqu'à présent, en effet, une expérience difficile peut être libérée avec une joie intense
  vient de l'auto- jugement et de l'intensité de l'attention que nous y avons mis jusqu'à présent, en effet, une expérience difficile peut être libérée avec une joie intense    justement parce qu'elle nous a permis d'en retirer beaucoup de sagesse intérieure et que nous aspirons aujourd'hui à tendre vers un autre apprenti-sage.
  justement parce qu'elle nous a permis d'en retirer beaucoup de sagesse intérieure et que nous aspirons aujourd'hui à tendre vers un autre apprenti-sage.   
   
 En nous positionnant en "mode" gratitude"
 sur ce qui nous a été offert de vivre, le lâcher-prise
  sur ce qui nous a été offert de vivre, le lâcher-prise   et l'amour
  et l'amour   qui en découle permettent de grandement fluidifier les résistances résiduelles et donc de passer à autre chose avec beaucoup plus d'évidence et de facilité.
  qui en découle permettent de grandement fluidifier les résistances résiduelles et donc de passer à autre chose avec beaucoup plus d'évidence et de facilité.   
 On y arrive tous plus ou moins, au cas par cas et selon les situations à traverser.
 
 C'est le fruit merveilleux de nos efforts
 
   
   
    
 



 Ce trauma remonte à la surface et en conscience nous fait face, ainsi nous pouvons le libérer. La douleur ne sera certes pas la même qu'à l'origine de l'expérience initiale puisque nous ne nous identifions pas à elle de la même façon, en effet elle n'appartient pas au présent et nous savons que nous somme sur la voie de la libération.
  Ce trauma remonte à la surface et en conscience nous fait face, ainsi nous pouvons le libérer. La douleur ne sera certes pas la même qu'à l'origine de l'expérience initiale puisque nous ne nous identifions pas à elle de la même façon, en effet elle n'appartient pas au présent et nous savons que nous somme sur la voie de la libération.

 
  


 
  
  
 
 


