Le pardon qui mène vers soi... Oui, il y a tout ce cheminement intérieur de soi qui est un voyage infini aidé par la nature et tout ce que vient d'écrire André, et il y a aussi cette notion qui aide beaucoup... Chacun vit son parcours (j'ose dire de croix) avec ses problèmes, ses souffrances, ses souvenirs douloureux, des évènements inattendus difficiles qui viennent balayer une vie tranquille et savoir que nous tous, et chacun vivons tous ces soucis... On croise des gens dans la rue, chacun a un petit ou grand soucis d'ombre et savoir que chacun essayons à notre manière de mettre de la lumière fait que cette lutte ou on se croit tout seul face à soi-même est la même pour tous... Cette recherche de pardon et d'amour pour soi... On est tous égaux ...
Si chacun pouvait sentir quelques secondes de paix pour soi et la passer à son voisin...
Le pardon
- Aurélie
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Re: Le pardon
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Sourire intérieur...Sourire de coeur
Sourire intérieur...Sourire de coeur
Re: Le pardon
Merci André, j'ai opté pour l'auto-traitement ce matin et une bonne partie de rire aux éclats hier soir.André Baechler a écrit :Alors, si vous le choisissez, à vous de ménager ces espaces personnels dans votre quotidien... un temps pour soi plutôt que deux heures devant un débat politique stérile, une balade ressourçante dans la nature, un auto-traitement, une retraite silencieuse... Oubliez tout ce que vous avez lu et plongez à l'intérieur
La liste est incomplète, je propose aussi les activités épanouissantes pour soi-même. Je vais revoir ma liste.
Re: Le pardon
Bonsoir,
ça m'a fait du bien de relire ce sujet… Merci pour vos écrits.
Il y a peu, je me suis réveillée brutalement en pleine nuit avec ce mot en tête : PARDON… j'ai eu sur le moment l'évidence très forte de l'impérieuse nécessité de ME pardonner. Je sentais avec une lucidité étonnante combien j'avais de colère étouffée vis à vis de moi et comment elle se nourrissait. Et probablement parce que mon mental était pris de court… J'ai laissé couler en moi l'amour douceur, l'amour médicament… J'ai senti sa caresse bienveillante, réparatrice. Ce fut bref mais suffisamment fort et profond pour que je saisisse ce que signifie "se donner de l'amour".
Au matin, je me suis réveillée un peu différente… je gardais la trace de l'impérieux besoin… mais "se pardonner" était revenu s'installer dans mon mental sans que je ne puisse plus en faire grand chose… Mais l'empreinte de cette expérience reste.
Tendresse à vous tous.
Douce nuit.
Kathy
ça m'a fait du bien de relire ce sujet… Merci pour vos écrits.
Il y a peu, je me suis réveillée brutalement en pleine nuit avec ce mot en tête : PARDON… j'ai eu sur le moment l'évidence très forte de l'impérieuse nécessité de ME pardonner. Je sentais avec une lucidité étonnante combien j'avais de colère étouffée vis à vis de moi et comment elle se nourrissait. Et probablement parce que mon mental était pris de court… J'ai laissé couler en moi l'amour douceur, l'amour médicament… J'ai senti sa caresse bienveillante, réparatrice. Ce fut bref mais suffisamment fort et profond pour que je saisisse ce que signifie "se donner de l'amour".
Au matin, je me suis réveillée un peu différente… je gardais la trace de l'impérieux besoin… mais "se pardonner" était revenu s'installer dans mon mental sans que je ne puisse plus en faire grand chose… Mais l'empreinte de cette expérience reste.
Tendresse à vous tous.
Douce nuit.
Kathy
Re: Le pardon
Bonjour,
En lisant tout ce qui a été dit une réflexion s'est faite en moi, car il y a plusieurs années de ça, j'ai commis des actions répréhensibles devant la loi et j'ai fait beaucoup de tort à ma famille. Aujourd'hui, je peux parler de ça avec détachement.
Il a fallu trois ans à mon père pour me pardonner. Par contre, malgré son pardon il m'a fallu à moi encore sept ans pour me pardonner définitivement. Certaines personnes de la famille ont mis plus de temps que mon père, qui lui a eu un flash pendant le sermon d'un pasteur sur le pardon justement
Chacun son rythme, chacun sa digestion, chacun son expérience. La mienne qui a été de faire du mal à mes proches, m'a fait comprendre que malgré les manifestations d'amour évidentes et la confiance revenue, je n'ai pu recevoir pleinement tout ça tant que je n'avais pu réellement me pardonner.
Dix ans ) un beau parcours quand je regarde en arrière, une famille unie à nouveau et plus forte quant à moi libre et heureuse, peut-être que en ayant été de "l'autre côté de la barrière" pour moi il est tellement plus facile de pardonner, car je ne juge plus, enfin j'essaie
Et puis la bonne nouvelle dans tout ça c'est que l'amour guérit; il faut juste lui laisser le temps de refleurir et pour ça il faut parfois beaucoup de patience... La patience de n'attendre rien...dans mon histoire il m'a fallu beaucoup de temps pour faire la paix avec moi-même et recevoir pleinement l'amour qu'on me donnait.
Bonne journée à vous tous
Nicole
En lisant tout ce qui a été dit une réflexion s'est faite en moi, car il y a plusieurs années de ça, j'ai commis des actions répréhensibles devant la loi et j'ai fait beaucoup de tort à ma famille. Aujourd'hui, je peux parler de ça avec détachement.
Il a fallu trois ans à mon père pour me pardonner. Par contre, malgré son pardon il m'a fallu à moi encore sept ans pour me pardonner définitivement. Certaines personnes de la famille ont mis plus de temps que mon père, qui lui a eu un flash pendant le sermon d'un pasteur sur le pardon justement
Chacun son rythme, chacun sa digestion, chacun son expérience. La mienne qui a été de faire du mal à mes proches, m'a fait comprendre que malgré les manifestations d'amour évidentes et la confiance revenue, je n'ai pu recevoir pleinement tout ça tant que je n'avais pu réellement me pardonner.
Dix ans ) un beau parcours quand je regarde en arrière, une famille unie à nouveau et plus forte quant à moi libre et heureuse, peut-être que en ayant été de "l'autre côté de la barrière" pour moi il est tellement plus facile de pardonner, car je ne juge plus, enfin j'essaie
Et puis la bonne nouvelle dans tout ça c'est que l'amour guérit; il faut juste lui laisser le temps de refleurir et pour ça il faut parfois beaucoup de patience... La patience de n'attendre rien...dans mon histoire il m'a fallu beaucoup de temps pour faire la paix avec moi-même et recevoir pleinement l'amour qu'on me donnait.
Bonne journée à vous tous
Nicole
Nous sommes des êtres spirituels vivant une aventure humaine
Re: Le pardon
Bonjour à tous...
J'ai relu mille fois le sujet sur la colère... cliquant régulièrement sur "répondre" pour effacer au bout d'une heure ce que je venais d'écrire laborieusement...sans comprendre pourquoi j'étais insatisfaite, encore et encore, de ce témoignage que je m'obstinais à vouloir retranscrire... des détails que je me sentais obligée de révéler pour vous permettre de comprendre mon histoire et ma colère...
Encore et encore, chaque jour ce sujet sur la colère...jusqu'à ce que je comprenne....
Mon partage n'avait pas sa place dans le post sur la colère...mais bel et bien dans celui du PARDON...
JE SUIS SEULE RESPONSABLE DE MOI-MEME .
Ce que l'Autre a fait n'entre pas en considération.
JE ne me suis pas protégée, au propre comme au figuré et si aujourd'hui au plus intime de mon être se développe sournoisement une maladie je ne peux en vouloir à personne, même pas à "faute à pas de chance".
J'ouvre les yeux et je vois pleinement que chacun de mes actes, de mes choix et de mes dénis allaient dans le sens de l'histoire telle qu'elle se déroule aujourd'hui. "Co-créatrice" lisais-je ça et là... le comprendre et l'accepter en théorie a été facile mais venu le temps de la pratique et des Révélations j'ai obstinément refusé cette Evidence...
J'ouvre les yeux et je vois pleinement combien j'ai refusé à chaque fois qu'ils se présentaient les signaux d'alarme, les avertissements d'ici et d'ailleurs .
J'ouvre les yeux et je vois combien mon mental a pensé pouvoir diriger ma vie et la façonner telle qu'il l'entendait.
J'ouvre les yeux et je vois l'orgueil, l'obstination et les ruses de mon mental pour préserver "ma bonne conscience"...
J'ouvre les yeux et je vois combien il m'a été facile d'en vouloir à l'autre qui n'y pouvait rien...
J'ai cheminé longtemps à la recherche du plus grand, de l'Energie Divine, Dieu, appelez-le comme il vous plaira.... sans comprendre qu'IL était là et qu'il me suffisait de m'y abandonner, d'avoir confiance et de lui faire une place...
J'ai cheminé longtemps, consciencieusement, sincèrement, pensant qu'il me fallait "m'élever"... sans comprendre, sans voir, qu'il me fallait au contraire "m'abaisser" ETRE HUMBLE pour recevoir le cadeau de l'étincelle divine...
On ne peut recevoir que lorsqu'on est vidé de toutes nos certitudes, de toutes nos volontés...
Pour être guidé il faut savoir s'en remettre au guide...et non au compagnon de cordée...
Pour être guidé il faut savoir faire silence et accepter les conseils en toute confiance...
Aujourd'hui est venu le temps du pardon... sincère et sans artifice...
Je me pardonne pour avoir maintenu à bout de bras, contre vents et marées, une relation de couple frustrante et mal partie dès l'origine...
Je me pardonne pour avoir usé de ruse et de mensonge pour découvrir une Vérité que ma tête voulait ignorer mais que mon coeur connaissait de longue date...
Je me pardonne de n'avoir pas pris soin de moi...
Je me pardonne d'avoir retourné cette colère contre l'autre puis contre moi...
Je me pardonne de n'avoir pas écouté mes intuitions ni les messages ...
Je me pardonne d'avoir poursuivi cette relation malgré le danger que cela représentait physiquement et psychologiquement.
JE ME PARDONNE...
et j'apaise ce front de "mère intérieure" qui aurait pu devenir un front de guerre...
Prenez-soin de vous
Aria
J'ai relu mille fois le sujet sur la colère... cliquant régulièrement sur "répondre" pour effacer au bout d'une heure ce que je venais d'écrire laborieusement...sans comprendre pourquoi j'étais insatisfaite, encore et encore, de ce témoignage que je m'obstinais à vouloir retranscrire... des détails que je me sentais obligée de révéler pour vous permettre de comprendre mon histoire et ma colère...
Encore et encore, chaque jour ce sujet sur la colère...jusqu'à ce que je comprenne....
Mon partage n'avait pas sa place dans le post sur la colère...mais bel et bien dans celui du PARDON...
JE SUIS SEULE RESPONSABLE DE MOI-MEME .
Ce que l'Autre a fait n'entre pas en considération.
JE ne me suis pas protégée, au propre comme au figuré et si aujourd'hui au plus intime de mon être se développe sournoisement une maladie je ne peux en vouloir à personne, même pas à "faute à pas de chance".
J'ouvre les yeux et je vois pleinement que chacun de mes actes, de mes choix et de mes dénis allaient dans le sens de l'histoire telle qu'elle se déroule aujourd'hui. "Co-créatrice" lisais-je ça et là... le comprendre et l'accepter en théorie a été facile mais venu le temps de la pratique et des Révélations j'ai obstinément refusé cette Evidence...
J'ouvre les yeux et je vois pleinement combien j'ai refusé à chaque fois qu'ils se présentaient les signaux d'alarme, les avertissements d'ici et d'ailleurs .
J'ouvre les yeux et je vois combien mon mental a pensé pouvoir diriger ma vie et la façonner telle qu'il l'entendait.
J'ouvre les yeux et je vois l'orgueil, l'obstination et les ruses de mon mental pour préserver "ma bonne conscience"...
J'ouvre les yeux et je vois combien il m'a été facile d'en vouloir à l'autre qui n'y pouvait rien...
J'ai cheminé longtemps à la recherche du plus grand, de l'Energie Divine, Dieu, appelez-le comme il vous plaira.... sans comprendre qu'IL était là et qu'il me suffisait de m'y abandonner, d'avoir confiance et de lui faire une place...
J'ai cheminé longtemps, consciencieusement, sincèrement, pensant qu'il me fallait "m'élever"... sans comprendre, sans voir, qu'il me fallait au contraire "m'abaisser" ETRE HUMBLE pour recevoir le cadeau de l'étincelle divine...
On ne peut recevoir que lorsqu'on est vidé de toutes nos certitudes, de toutes nos volontés...
Pour être guidé il faut savoir s'en remettre au guide...et non au compagnon de cordée...
Pour être guidé il faut savoir faire silence et accepter les conseils en toute confiance...
Aujourd'hui est venu le temps du pardon... sincère et sans artifice...
Je me pardonne pour avoir maintenu à bout de bras, contre vents et marées, une relation de couple frustrante et mal partie dès l'origine...
Je me pardonne pour avoir usé de ruse et de mensonge pour découvrir une Vérité que ma tête voulait ignorer mais que mon coeur connaissait de longue date...
Je me pardonne de n'avoir pas pris soin de moi...
Je me pardonne d'avoir retourné cette colère contre l'autre puis contre moi...
Je me pardonne de n'avoir pas écouté mes intuitions ni les messages ...
Je me pardonne d'avoir poursuivi cette relation malgré le danger que cela représentait physiquement et psychologiquement.
JE ME PARDONNE...
et j'apaise ce front de "mère intérieure" qui aurait pu devenir un front de guerre...
Prenez-soin de vous
Aria
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Re: Le pardon
Merci Aria
Merci d'avoir mis des mots sur un vécu et des émotions dans lesquels je me retrouve beaucoup !
J'ai perçu et reçu "l'Etincelle" et j'espère connaître un jour le pardon...
Je te souhaite beaucoup de Lumière et de paix pour la suite.
Merci d'avoir mis des mots sur un vécu et des émotions dans lesquels je me retrouve beaucoup !
J'ai perçu et reçu "l'Etincelle" et j'espère connaître un jour le pardon...
Je te souhaite beaucoup de Lumière et de paix pour la suite.
"alors, quand l'homme chante, c'est qu'il est libre"
- Marielle
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Re: Le pardon
Merci Aria pour ton partage très touchant.Aria a écrit : JE SUIS SEULE RESPONSABLE DE MOI-MEME .
Ce que l'Autre a fait n'entre pas en considération.
...
J'ouvre les yeux et je vois pleinement combien j'ai refusé à chaque fois qu'ils se présentaient les signaux d'alarme, les avertissements d'ici et d'ailleurs .
...
J'ouvre les yeux et je vois combien il m'a été facile d'en vouloir à l'autre qui n'y pouvait rien...
...
Aujourd'hui est venu le temps du pardon... sincère et sans artifice...
...
Je me pardonne de n'avoir pas pris soin de moi...
Je me pardonne d'avoir retourné cette colère contre l'autre puis contre moi...
Je me pardonne de n'avoir pas écouté mes intuitions ni les messages ...
Je me pardonne d'avoir poursuivi cette relation malgré le danger que cela représentait physiquement et psychologiquement.
JE ME PARDONNE...
...
En attendant de pouvoir partager ma propre expérience sur le thème du Pardon et surtout de pouvoir résumer en quelques lignes ce travail qui, pour moi, a duré pendant plus d'un an, je t'offre mon tirage des messages personnels de l'Univers de ce soir, :
[cAD3710]Relation[/c][c934DA6]Réjouissance[/c][c17B466]Paix[/c][c3F279D]Guérison[/c][cB27138]Persévérance[/c]
Re: Le pardon
Superbe Aria
et très inspirant
J'ai moi aussi pas mal de choses à me pardonner dans la même veine que toi
Tellement heureuse pour toi que tu aies trouvé ton guide intérieur et que tu te laisses à présent guider en toute confiance...
Prends bien soin de toi à présent et ne laisse plus les autres te marcher dessus... Faut mettre un solide paillasson devant la porte d'entrée de ton coeur
et très inspirant
J'ai moi aussi pas mal de choses à me pardonner dans la même veine que toi
Tellement heureuse pour toi que tu aies trouvé ton guide intérieur et que tu te laisses à présent guider en toute confiance...
Prends bien soin de toi à présent et ne laisse plus les autres te marcher dessus... Faut mettre un solide paillasson devant la porte d'entrée de ton coeur
Sans ce qui n'est pas, ce qui Est n'est pas
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Re: Le pardon
Bonsoir
Les coïncidences sont souvent troublantes...
J'ai commencé il y a quelque temps un livre de Jacques Lecomte : La bonté humaine. Altruisme, empathie, générosité. (éd. Odile Jacob)
Cet après-midi, en attendant une amie qui allait me donner un Reiki, j'ouvre le livre et découvre un chapitre sur... le pardon !
Je me souvenais d'avoir lu ici quelque chose sur le sujet. Petite recherche donc, je relis tout le sujet et je m'aperçois avec stupéfaction que j'étais déjà intervenue dans ce post, moi qui ne suis pourtant pas très bavarde... (ö)
Donc, voilà, j'ai envie de vous dire quelques mois plus tard, que le pardon arrive sans effort, quand le moment est juste, quand on a réussi à lui faire de la place, et aussi quand on a décidé de ne plus donner le pouvoir au bourreau.
Je vous livre ces quelques phrases de Jacques Lecomte :
"Le pardon n'est pas l'oubli de l'acte, ni sa justification, mais la distinction entre la personne et l'acte.
Le pardon n'est pas un devoir, ni un acte méritoire, mais un processus de libération.
Le pardon n'est pas synonyme de réconciliation avec l'autre, mais correspond souvent à la réconciliation avec soi-même.
Le pardon n'est pas réservé aux croyants, mais peut concerner toute personne."
"Distinction entre la personne et l'acte". Tout est dit. L'acte peut être impardonnable, la personne pas.
Beau week-end à tous
Les coïncidences sont souvent troublantes...
J'ai commencé il y a quelque temps un livre de Jacques Lecomte : La bonté humaine. Altruisme, empathie, générosité. (éd. Odile Jacob)
Cet après-midi, en attendant une amie qui allait me donner un Reiki, j'ouvre le livre et découvre un chapitre sur... le pardon !
Je me souvenais d'avoir lu ici quelque chose sur le sujet. Petite recherche donc, je relis tout le sujet et je m'aperçois avec stupéfaction que j'étais déjà intervenue dans ce post, moi qui ne suis pourtant pas très bavarde... (ö)
Donc, voilà, j'ai envie de vous dire quelques mois plus tard, que le pardon arrive sans effort, quand le moment est juste, quand on a réussi à lui faire de la place, et aussi quand on a décidé de ne plus donner le pouvoir au bourreau.
Je vous livre ces quelques phrases de Jacques Lecomte :
"Le pardon n'est pas l'oubli de l'acte, ni sa justification, mais la distinction entre la personne et l'acte.
Le pardon n'est pas un devoir, ni un acte méritoire, mais un processus de libération.
Le pardon n'est pas synonyme de réconciliation avec l'autre, mais correspond souvent à la réconciliation avec soi-même.
Le pardon n'est pas réservé aux croyants, mais peut concerner toute personne."
"Distinction entre la personne et l'acte". Tout est dit. L'acte peut être impardonnable, la personne pas.
Beau week-end à tous
"alors, quand l'homme chante, c'est qu'il est libre"
Re: Le pardon
Bonjour tous les auteurs et lecteurs de ce sujet, essentiel !
On est tous concernés par le pardon, et il va être difficile de trouver plus à dire, tellement le sujet est bien traité par les uns comme par les autres.
Et je suis concernée aussi. J'ai été mariée et il y a eu divorce, peu importent les détails, j'ai beaucoup souffert et j'ai travaillé, depuis quelques années, sur le sujet du pardon. J'ai eu d'autres souffrances, avant, dans mon enfance, mon adolescence et même ma vie d'adulte, mais celle-ci me semblait la plus forte, la plus importante. Le plus gros bout de pardon que j'avais à faire dans ma vie.
Et biens sûr, quand il était question de pardon, dans les livres, à la télé, de la part de copains et copines, j'ouvrais l'oreille et je prenais tout ce qui était possible.
Déjà, j'ai commencé par retirer le sens chrétien du mot pardon, qui induit l'idée de sacrifice, de mise à l’abattoir de la personne offensée, de crucifixion...
Ces dernières années, j'ai beaucoup écouté une conférence sur ce sujet, que j'avais podcastée sur un site bouddhiste américain et je pense pouvoir ajouter un peu quelque chose sur le sujet.
Préalablement au pardon, il y a le ressentiment. Et il y a une phrase qui m'a bouleversée :
"Le ressentiment, c'est comme boire du poison tous les jours, et espérer que l'autre va mourir".
Et je vous assure que j'en ai bu, du poison ! Et ça fait mal ! Et ça n'arrange rien du tout !
Une autre citation, complémentaire, que je tiens de Gil Fronsdal qui a traduit le damapada et que je traduis de l'anglais :
Hatred never ends through hatred. / By non-hate alone does it end. / This is an ancient truth.
Many do not realize that / We here must die. / For those who realize this, / Quarrels end.
- Dhammapada verses 5, 6, translated by Gil Fronsdal
"La haine ne finit jamais par la haine, seule la non-haine peut y mettre fin. C'est une ancienne vérité."
De nombreuses personnes ne se rendent pas compte que nous mourrons tous. Pour ceux qui s'en rendent compte, les querelles se terminent.
Dhammapada, versets 5 et 6.
Le conférencier insiste sur « non haine », car il ne s'agit pas d'amour à donner à l'envers. Et la conférence, je l'entends comme j'ai lu « le Petit Prince » et j'en comprends un détail à la fois. C'est un gros bout à avaler... et il dit des choses tellement justes et qui s'appliquent à tous les cas de ma vie. Lui-même donne un exemple gratiné ! Et il parle de sa démarche, dans les faits et dans son cœur, et on voit le temps et l'évolution qu'il a traversé pour arriver à son résultat positif qu'il résume ainsi :
"Pardonner, c'est être en paix, à chaque respiration, avec la personne qui nous a fait mal. Il n'y a pas à oublier, ni à juger, ni a condamner, ni a se réconcilier. Juste à être en paix avec soi."
Dans le cas de mon divorce, j'ai appliqué ces règles, et c'est difficile ! Oui, ça ne se fait pas tout seul, le temps ne fait rien sans l'élan que j'y mets, et c'est, pour moi, un travail quotidien. Et je ne vois pas la progression, je ne suis pas « récompensée » à la mesure de mon quotidien. Aveugle que je suis...
La paix arrive peu à peu et on s'habitue tellement qu'on ne la remarque pas et qu'on manque de la gratitude qui est ce « point » que l'on fait au cours d'une évolution. Oui, j'avance, mais sans m'en apercevoir, sauf que là, j'ai eu la chance qu'un événement bouleverse le cours de ce pardon. Mon ex-mari est parti de l'autre côté. Et j'ai regardé où j'en étais...
En paix ! Si si, en paix !
D'après Fred Luskin dans son livre « Pardonner pour de bon : Le secret d'une vie heureuse et en santé », le problème peut se prendre de la manière suivante :
Je me sens personnellement blessée, intentionnellement interrompue dans le cours des plans de ma vie.
Ma réaction est plus que forte, elle est extrême, elle me stoppe dans mon l'élan de vie.
Je décide d'en faire part au monde entier pour être le témoin de mon malheur. Plus il y a de témoins, mieux je serai défendue.
Alors, le travail consiste à:
Comprendre que nous souffrons tous, et que la vie terrestre est une souffrance qui nous permet d'évoluer. Que je ne peux agir que sur le moment présent et que tout le passé, il est passé et donc, inaccessible. Donc, aujourd'hui, je considère que la souffrance qui est la mienne est partagée par tous les êtres, y compris mon « agresseur », et que pour faire cesser cette souffrance, je ne peux agir que sur moi, seul domaine où j'ai le pouvoir. Alors, c'est moi, ici et maintenant, que je dois changer, je dois me changer, changer mon regard, mon comportement, mes pensées... et en d'autres termes, au lieu de détester, je dois aimer. Il y faut du temps, et chacun a sa mesure du temps. Chacun est doué pour ça, à sa manière, à son rythme.
A la réaction qui suit, il faut la regarder, la comprendre (prendre en soi), l'intégrer, la mettre dans son cœur. Pour moi, ce fut un travail de visualisations, d'acceptation, de don d'amour vis à vis de la situation et de la personne. Croyez vous que ce soit facile de penser que la personne a de bons côtés, après l’assassinat qu'elle a fait de votre vie ? Non, pas du tout ! Et ce n'est facile pour personne, que le problème soit grand ou petit. Et ça peut durer. La qualité du travail fait la différence. Je suis seule à travailler ça, j'en parle rarement.
Sur le fait d'en parler au monde entier, j'ai choisi de méditer sur la question. De prendre tout ce qui vient, de laisser me pénétrer sur ma condition humaine, seule capable de me permettre ce travail.
Et à ma grande surprise, l'évolution s'est faite, petit à petit, effort après effort, amour après amour... et je vois là, les résultats de mon travail.
Il y a longtemps que je voulais entreprendre la liste des bienfaits que cette personne a apporté dans ma vie, car elle m'a fait aussi beaucoup de bien.
*
J'ai appris récemment la mort de mon ex-mari. Et à cette nouvelle, j'ai constaté que mon cœur ne se réjouissait pas, comme je l'aurais cru il y a quelques années. Bien au contraire, mon cœur l'accompagnait dans cette épreuve où il risque de se trouver face à face avec ses actes. Je ne suis pas la seule qu'il a offensée de manière profonde, et pour certains, dont il a détruit la vie. D'autres, qui n'ont pas su comment se reconstruire. D'autres enfin, qui ont eu a subir les méfaits répétés et toujours les mêmes, et qui n'auront pas le temps, dans le deuil qui les a frappés, d'ouvrir les yeux, je pense à une vieille dame, sa victime qui est très âgée et dont je pense qu'elle restera aveuglée par son chagrin. D'autres enfants, chez qui il a éveillé des montagnes de haine et qui n'ont pas idée que la solution vient du pardon, et qui sombrent dans une guerre sans fin, puisque l'opposant, par sa mort, reste vainqueur et ne leur permettra pas ce qu'ils attendant, tant : vengeance et justice !
Non, le pardon est la seule issue, même après la mort !
Le pardon, oui, c'est pour soi ! Ça ne dépend de rien que de sa propre volonté à vivre le présent en paix avec soi, avec les autres
En conclusion, je reviens à une traduction du dhammapada qui dit tout, si on veut bien l'entendre :
1-2
Tous les phénomènes qui se manifestent à nous
Naissent dans notre cœur et dans notre esprit ;
Ils sont dirigés par le cœur et l’esprit,
Ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit souillés,
Alors la souffrance s’ensuivra
Aussi inévitablement que la roue du chariot
Suit la trace des sabots du bœuf qui le tire.
Tous les phénomènes qui se manifestent à nous
Naissent dans notre cœur et dans notre esprit ;
Ils sont dirigés par le cœur et l’esprit,
Ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit paisibles et lumineux,
Alors le bonheur s’ensuivra
Aussi inévitablement que l’ombre
Qui jamais ne nous quitte.
3-6
« On m’a insulté, on m’a frappé ! »
« On m’a battu, on m’a volé ! »
Ceux qui entretiennent de telles pensées
Ne verront jamais la fin de l’hostilité.
« On m’a insulté, on m’a frappé ! »
« On m’a battu, on m’a volé ! »
Ceux qui n’entretiennent pas de telles pensées
Verront l’hostilité s’apaiser.
Jamais les rancœurs ne seront apaisées par l’hostilité.
Ce n’est qu’en s’abstenant de toute hostilité
Que les rancœurs seront apaisées.
C’est une loi de tous les temps.
Certains semblent oublier
Que nous devons mourir un jour.
Ceux qui en sont conscients
Abandonnent toute querelle.
C'est mon vécu et ma contribution à ce magnifique sujet qu'est le pardon, en toute humilité. J'ajouterai aussi que le Reiki a été pour beaucoup dans ma force à puiser dans les ressources à ma disposition, et à l'ouverture de mon cœur.
Bonne journée à vous tous
On est tous concernés par le pardon, et il va être difficile de trouver plus à dire, tellement le sujet est bien traité par les uns comme par les autres.
Et je suis concernée aussi. J'ai été mariée et il y a eu divorce, peu importent les détails, j'ai beaucoup souffert et j'ai travaillé, depuis quelques années, sur le sujet du pardon. J'ai eu d'autres souffrances, avant, dans mon enfance, mon adolescence et même ma vie d'adulte, mais celle-ci me semblait la plus forte, la plus importante. Le plus gros bout de pardon que j'avais à faire dans ma vie.
Et biens sûr, quand il était question de pardon, dans les livres, à la télé, de la part de copains et copines, j'ouvrais l'oreille et je prenais tout ce qui était possible.
Déjà, j'ai commencé par retirer le sens chrétien du mot pardon, qui induit l'idée de sacrifice, de mise à l’abattoir de la personne offensée, de crucifixion...
Ces dernières années, j'ai beaucoup écouté une conférence sur ce sujet, que j'avais podcastée sur un site bouddhiste américain et je pense pouvoir ajouter un peu quelque chose sur le sujet.
Préalablement au pardon, il y a le ressentiment. Et il y a une phrase qui m'a bouleversée :
"Le ressentiment, c'est comme boire du poison tous les jours, et espérer que l'autre va mourir".
Et je vous assure que j'en ai bu, du poison ! Et ça fait mal ! Et ça n'arrange rien du tout !
Une autre citation, complémentaire, que je tiens de Gil Fronsdal qui a traduit le damapada et que je traduis de l'anglais :
Hatred never ends through hatred. / By non-hate alone does it end. / This is an ancient truth.
Many do not realize that / We here must die. / For those who realize this, / Quarrels end.
- Dhammapada verses 5, 6, translated by Gil Fronsdal
"La haine ne finit jamais par la haine, seule la non-haine peut y mettre fin. C'est une ancienne vérité."
De nombreuses personnes ne se rendent pas compte que nous mourrons tous. Pour ceux qui s'en rendent compte, les querelles se terminent.
Dhammapada, versets 5 et 6.
Le conférencier insiste sur « non haine », car il ne s'agit pas d'amour à donner à l'envers. Et la conférence, je l'entends comme j'ai lu « le Petit Prince » et j'en comprends un détail à la fois. C'est un gros bout à avaler... et il dit des choses tellement justes et qui s'appliquent à tous les cas de ma vie. Lui-même donne un exemple gratiné ! Et il parle de sa démarche, dans les faits et dans son cœur, et on voit le temps et l'évolution qu'il a traversé pour arriver à son résultat positif qu'il résume ainsi :
"Pardonner, c'est être en paix, à chaque respiration, avec la personne qui nous a fait mal. Il n'y a pas à oublier, ni à juger, ni a condamner, ni a se réconcilier. Juste à être en paix avec soi."
Dans le cas de mon divorce, j'ai appliqué ces règles, et c'est difficile ! Oui, ça ne se fait pas tout seul, le temps ne fait rien sans l'élan que j'y mets, et c'est, pour moi, un travail quotidien. Et je ne vois pas la progression, je ne suis pas « récompensée » à la mesure de mon quotidien. Aveugle que je suis...
La paix arrive peu à peu et on s'habitue tellement qu'on ne la remarque pas et qu'on manque de la gratitude qui est ce « point » que l'on fait au cours d'une évolution. Oui, j'avance, mais sans m'en apercevoir, sauf que là, j'ai eu la chance qu'un événement bouleverse le cours de ce pardon. Mon ex-mari est parti de l'autre côté. Et j'ai regardé où j'en étais...
En paix ! Si si, en paix !
D'après Fred Luskin dans son livre « Pardonner pour de bon : Le secret d'une vie heureuse et en santé », le problème peut se prendre de la manière suivante :
Je me sens personnellement blessée, intentionnellement interrompue dans le cours des plans de ma vie.
Ma réaction est plus que forte, elle est extrême, elle me stoppe dans mon l'élan de vie.
Je décide d'en faire part au monde entier pour être le témoin de mon malheur. Plus il y a de témoins, mieux je serai défendue.
Alors, le travail consiste à:
Comprendre que nous souffrons tous, et que la vie terrestre est une souffrance qui nous permet d'évoluer. Que je ne peux agir que sur le moment présent et que tout le passé, il est passé et donc, inaccessible. Donc, aujourd'hui, je considère que la souffrance qui est la mienne est partagée par tous les êtres, y compris mon « agresseur », et que pour faire cesser cette souffrance, je ne peux agir que sur moi, seul domaine où j'ai le pouvoir. Alors, c'est moi, ici et maintenant, que je dois changer, je dois me changer, changer mon regard, mon comportement, mes pensées... et en d'autres termes, au lieu de détester, je dois aimer. Il y faut du temps, et chacun a sa mesure du temps. Chacun est doué pour ça, à sa manière, à son rythme.
A la réaction qui suit, il faut la regarder, la comprendre (prendre en soi), l'intégrer, la mettre dans son cœur. Pour moi, ce fut un travail de visualisations, d'acceptation, de don d'amour vis à vis de la situation et de la personne. Croyez vous que ce soit facile de penser que la personne a de bons côtés, après l’assassinat qu'elle a fait de votre vie ? Non, pas du tout ! Et ce n'est facile pour personne, que le problème soit grand ou petit. Et ça peut durer. La qualité du travail fait la différence. Je suis seule à travailler ça, j'en parle rarement.
Sur le fait d'en parler au monde entier, j'ai choisi de méditer sur la question. De prendre tout ce qui vient, de laisser me pénétrer sur ma condition humaine, seule capable de me permettre ce travail.
Et à ma grande surprise, l'évolution s'est faite, petit à petit, effort après effort, amour après amour... et je vois là, les résultats de mon travail.
Il y a longtemps que je voulais entreprendre la liste des bienfaits que cette personne a apporté dans ma vie, car elle m'a fait aussi beaucoup de bien.
*
J'ai appris récemment la mort de mon ex-mari. Et à cette nouvelle, j'ai constaté que mon cœur ne se réjouissait pas, comme je l'aurais cru il y a quelques années. Bien au contraire, mon cœur l'accompagnait dans cette épreuve où il risque de se trouver face à face avec ses actes. Je ne suis pas la seule qu'il a offensée de manière profonde, et pour certains, dont il a détruit la vie. D'autres, qui n'ont pas su comment se reconstruire. D'autres enfin, qui ont eu a subir les méfaits répétés et toujours les mêmes, et qui n'auront pas le temps, dans le deuil qui les a frappés, d'ouvrir les yeux, je pense à une vieille dame, sa victime qui est très âgée et dont je pense qu'elle restera aveuglée par son chagrin. D'autres enfants, chez qui il a éveillé des montagnes de haine et qui n'ont pas idée que la solution vient du pardon, et qui sombrent dans une guerre sans fin, puisque l'opposant, par sa mort, reste vainqueur et ne leur permettra pas ce qu'ils attendant, tant : vengeance et justice !
Non, le pardon est la seule issue, même après la mort !
Le pardon, oui, c'est pour soi ! Ça ne dépend de rien que de sa propre volonté à vivre le présent en paix avec soi, avec les autres
En conclusion, je reviens à une traduction du dhammapada qui dit tout, si on veut bien l'entendre :
1-2
Tous les phénomènes qui se manifestent à nous
Naissent dans notre cœur et dans notre esprit ;
Ils sont dirigés par le cœur et l’esprit,
Ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit souillés,
Alors la souffrance s’ensuivra
Aussi inévitablement que la roue du chariot
Suit la trace des sabots du bœuf qui le tire.
Tous les phénomènes qui se manifestent à nous
Naissent dans notre cœur et dans notre esprit ;
Ils sont dirigés par le cœur et l’esprit,
Ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit paisibles et lumineux,
Alors le bonheur s’ensuivra
Aussi inévitablement que l’ombre
Qui jamais ne nous quitte.
3-6
« On m’a insulté, on m’a frappé ! »
« On m’a battu, on m’a volé ! »
Ceux qui entretiennent de telles pensées
Ne verront jamais la fin de l’hostilité.
« On m’a insulté, on m’a frappé ! »
« On m’a battu, on m’a volé ! »
Ceux qui n’entretiennent pas de telles pensées
Verront l’hostilité s’apaiser.
Jamais les rancœurs ne seront apaisées par l’hostilité.
Ce n’est qu’en s’abstenant de toute hostilité
Que les rancœurs seront apaisées.
C’est une loi de tous les temps.
Certains semblent oublier
Que nous devons mourir un jour.
Ceux qui en sont conscients
Abandonnent toute querelle.
C'est mon vécu et ma contribution à ce magnifique sujet qu'est le pardon, en toute humilité. J'ajouterai aussi que le Reiki a été pour beaucoup dans ma force à puiser dans les ressources à ma disposition, et à l'ouverture de mon cœur.
Bonne journée à vous tous
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