J'ai appris dès mon 1er degré de Reiki qu'il est nécessaire de conseiller aux personnes que l'on traite de signaler à leur médecin qu'ils reçoivent des soins de Reiki afin que celui-ci revoie éventuellement ses prescriptions médicamenteuses en conséquence (surtout en cas de personnes qui prennent des anxiolytiques ou anti-dépresseurs) car les bienfaits du Reiki peuvent faire revoir à la baisse les doses prescrites.
Mais la médecine allopathique et le Reiki ne font pas forcément bon ménage!!!! Sachant que l'on ne doit impérativement pas se mêler des prescriptions faites par l'homme de l'Art et ne donner aucun diagnostic, il n'est pas facile aux "receveurs" de Reiki d'en parler parfois... J'ai personnellement une amie qui en a parlé à son médecin en lui disant qu'elle recevait des soins de Reiki, il l'a regardé d'un air sceptique en lui demandant "c'est quoi ça"???? mdr...
Donc mon interrogation qui je pense ne sera pas que la mienne.... "En parler aux médecins oui bien entendu, mais après??? Si ceux-ci ne prennent pas cela au sérieux, comment en parler aux personnes que l'on traite... sans faire de gaffe vis à vis de la médecine!!?"
Je pense que la personne va faire son chemin et que toi, à travers le reiki, êtes là pour l'accompagner . . .
Je pense que si la personne en ressent l'utilité et son médecin y compris, il pourra changer le traitement, nul besoin, ni même "obligation" de parler du reiki
L'important est de bien stipuler dès le premier soin que le reiki est un soin complémentaire à un traitement allopathique, qu'elle ne le remplace en aucun cas ainsi qu'un avis médical.
Je crois qu'il faut attendre que le reiki soit peut être devenu une méthode aussi reconnu que l'acupuncture ou la réflexologie plantaire pour en parler sans que les gens haussent les sourcils.
Tout d'abord, je peux vous assurer que la médecine traditionnelle n'est pas si désintéressée du Reiki qu'on ne pourrait bien l'imaginer. Bien entendu, aucun médecin ne va officiellement reconnaître le Reiki, au risque de se faire rejeter par ses confrères. Cela n'empêche pas que j'aie eu plusieurs médecins (incognito) assistant à des stages de Reiki
Bien entendu, un praticien Reiki n'est pas là pour revoir ou prescrire un traitement médicamenteux et encore moins pour établir un diagnostic. Il peut encourager la personne traitée à aller consulter un médecin s'il suppose ou pressant un problème majeur.
Pour ce qui est de la prise de médicaments, il faut distinguer principalement deux situations :
1. La personne gère elle-même la prise de médicaments en fonction de ses douleurs (dans une fourchette définie en accord avec son médecin). Par exemple, une personne souffrant de fibromyalgie m'avait informée que suite au stage Reiki de premier degré, elle avait pu diviser par quatre sa consommation de morphine. Ceci est tout à fait correct, puisque la personne est habilitée à gérer sa consommation pouvant varier entre zéro et la limite fixée par le corps médical. En pareil cas, il n'y a même pas besoin d'en parler à son médecin, si l'on sent une fermeture de sa part.
2. La personne suit un traitement médicamenteux prescrit par son médecin en lien à un problème majeur (dépression, diabète, problème cardiaque, cérébral, ...). Si la personne ressent une amélioration suite à un traitement ou à un stage de Reiki, elle peut demander à son médecin de réévaluer la situation en lui faisant part des changements, en mentionnant ou non le lien avec le Reiki. Si le médecin ne prend pas la demande au sérieux ou se cabre, il lui reste donc le choix de faire réévaluer la situation par un autre médecin.
Il n'y a donc rien à cacher au médecin, mais il n'y a pas non plus d'obligation de tenter de convaincre le médecin incrédule, qui lorsqu'il rit du Reiki, rit souvent jaune
Je me souviens d'un médecin accro à la prescription d'antibiotiques, niant les approches douces. Lorsque je lui avais parlé de la prise d'un médicament homéopathique, celui-ci avait prétendu que ce médicament créait souvent de la dépendance. Ma question est simplement : Comment peut-on nier l'effet d'un médicament et affirmer en même temps que celui-ci crée de la dépendance ? Une belle contradiction, non ?
Je n'attends personnellement pas de reconnaissance du reiki par la médecine, pour la simple et bonne raison que les effets du reiki ne sont pas quantifiables. La médecine n'accepte que ce qui est reproductible et le reiki ne l'est pas dans ces effets. Il va agir de cas en cas, selon le parcours et les "bagages" de chacun, renvoyant souvent à la cause du problème traité
Je vois plus le reiki comme un outil de développement personnel et de guérison intérieure, je le vois très complémentaire à la médecine traditionnelle, mais je ne le vois pas s'intégrer à la médecine qui est toujours dans l'attente de résultats précis et protocolables.
Je n'attends donc même pas qu'un médecin reconnaisse le reiki et je ne me verrais même pas lui en parler. Je pense simplement qu'il appartient à chacun de choisir ses propres outils de guérison, sans jamais renier l'un ou l'autre
Bonjour à tous Merci pour ce sujet qui m'éclaire un peu sur les rapports entre reiki et médecine traditionnelle. J'ai été amenée à parler de reiki à notre médecin de famille concernant l'aide que j'ai pu apporter à mon père suite à un violent problème de dos que la médecine n'arrivait pas à soulager autrement que par une intervention chirurgicale qui n'a finalement pas eu lieu.
En effet depuis 6 mois mon père souffrait d'une discopathie sévère. Malgré différents traitements et infiltrations, la douleur était toujours là, persistante. Plutôt récalcitrant de nature à l'idée du reiki, mais en désespoir de cause, il m'en a demandé 12 jours avant l'intervention. Je lui ai proposé un soin quotidien, et après 3 jours la douleur disparaissait presque totalement. Je l'ai accompagné à son rendez-vous chez le médecin et celui-ci s'est montré incrédule à l'idée qu'il n'ait plus mal. Selon lui et selon les radiographies il ne l'explique pas. Vu l'importance de l'intervention prévue et l'absence de douleurs, il a décidé de renoncer à l'intervention chirurgicale et en a informé son confrère chirurgien.
J'ai perçu une grande gène et eu le sentiment que le médecin était confronté à ses limites et à l'idée qu'une solution simple qu'il ne maîtrisait pas ait pu se montrer plus efficace que les moyens lourds. Je n'attendais pas de reconnaissance de sa part, mais je l'ai senti très troublé.
Les Voies du Seigneur sont impénétrables dit le proverbe et bien dans le Reiki, l'Energie universelle fait un bien beau travail d'amour.
Les médecins sont des personnes très instruites, ils ont appris comment réparer la merveilleuse machine qu'est le corps humain et voilà pourquoi plus que jamais nous pouvons dire que le Reiki est un formidable complément de la médecine allopathique.
Je viens apporter de l'eau à votre moulin. Le 14/11/08, je me blessais dans mon service (pour rappel, je suis infirmière), je tombais de haut sur la jambe gauche pliée, bref : entorse de cheville, tassement lombaire et cervical et multiples autres douleurs associées.
De traitement en traitement, j'ai cru devenir invalide, je ne pouvais plus marcher, une demi heure debout le matin me mettais en vrac, je pleurais de rage et de douleur, pratiquement tous les jours. Seulement 6 mois avant cette chute, je courais 60 kms/semaine et nageais 8 h/semaine. Là je n'étais plus rien, je perdais mon énergie à lutter contre ce mal, ce n'était plus du tout moi.
Médecin, rhumatologue, ostéopathe, posturologue, chirurgien... personne n'y pouvait rien, on me gavait de morphine, d'anti inflammatoire, on me faisait d'horribles tractions vertébrales sur un bassin déplacé, des infiltrations intervertébrales, j'étais nauséeuse douloureuse et vaseuse en permanence.
Alors j'ai décidé de ne plus me morfondre et d'oublier dans les bouquins, ainsi je suis tombée sur le REIKI... aucun hasard n'est-ce pas ?! Et j'ai rencontré une personne pour 4 séances (conseillée par mon futur Maître), qui m'ont apporté beaucoup. Cela m'a aussi permis de comprendre que je n'avais rien dans la tête, que mon problème était purement mécanique... les médecins m'en faisaient douter, tant ils étaient impuissants malgré leur médecine !
J'ai passé mon premier degré en janvier, et je participe aux réunions avec les élèves de Patrice Gros, deux fois par mois. Tous les jours depuis l'initiation, je fais mon auto traitement. Je vais considérablement mieux, mais la "guérison" a eu lieu début mars, alors qu'à la soirée d'échanges je passais entre les mains d'une élève et de Patrice. J'ai eu, horriblement mal, comme si la douleur de ma chute revenait, et durant trois jours le feu est resté sur mon bassin. Puis tout a disparu, je n'osais en parler à personne de peur que l'on se moque de moi. D'ailleurs, je vous en parle, parce que je sais que vous comprendrez. Le REIKI a fait son oeuvre...
Je suis en mi-temps thérapeutique, et mon généraliste a lui même été opéré du dos, mais il était sceptique. Là, il voit l'amélioration, et compte tenu de ma lésion discale, il est fort surpris et devient même intéressé par le REIKI. Pourtant cela semblait l'amuser lorsque j'avais fait mes premiers séances en tant que receveur.
La seule qui m'avait orientée vers les soins "alternatifs" était la toubib du travail. Elle m'avait dit de frapper à toutes les portes et si je n'y trouvais pas la solution de me tourner vers "une autre médecine".
L'ostéo que je voyais, m'a hurlé dessus, le lendemain d'une séance de REIKI, il a refusé de me toucher, car je m'étais faite "manipuler" par quelqu'un d'autre et que j'avais ainsi bousillé son travail. Je l'ai trouvé bien ignorant et obtus... je ne l'ai plus revu !
Voilà Axelle, moi aussi, je ne me sens pas miraculée, mais juste de retour à la vie normale, grâce au REIKI. Mais pratiquant les médecins au quotidien dans mon job, je peux dire qu'ils ne sont pas prêts à céder du terrain, surtout devant une pratique aussi "simple" d'apprentissage selon eux. Je dis bien selon eux, car pour ma part, j'apprends tous les jours un peu plus, dans la lecture, dans la pratique, et sur moi-même. Je pense, que cet apprentissage est celui d'une vie, ce qui est bien peu à côté de quelques 8 ans d'université et de stages.
Toujours est-il que depuis le mois de mars, je ne prends plus d'antalgique, mon dos et mon foie vont bien.
