Bon, alors si tu trouves que Mauricette ne passe pas les bornes des limites, c'est top !
Tu vois, j'aime bien la façon qu'à Martine d'exprimer les choses, je trouve cela plus doux et plus approprié. Mais je suis moi et "mon moi" à moi est assez sévère avec lui même en cas de problème. En ce cas, il fait fi des fioritures afin d'épurer au maximum et de trouver les solutions ou de laisser naitre les vérités.
...alors je vais en remettre une couche en espérant que tout comme la marmotte, tu sauras mettre ca dans du papier d'allu ou un joli papier de ta couleur préféré...
En réalité personne ne peut apprendre à l'autre à croire ou a avoir confiance en l'univers. La seule clé existante est celle qui se trouve entre toi et lui. C'est ta soupe à toi, ton verrou. Tu es le cuisinier et le serrurier.
Depuis deux ans, j'ai des centaines d'exemples dans ma vie de tous les jours de cette alchimie. Ce n'est pas pour autant que je saurai la transmettre en quelques lignes.
Dis toi bien que lui il s'en fout que tu sois en colère contre lui, que tu le rejettes, lui claque la porte au nez. Il est là en toi depuis toujours. Et de tes états d'âmes il ne fait pas cas. Il se moque que tu crois en lui ou pas, il ne tiens compte ni ton age, ni de ta fatigue, il ne te juge pas que tu sois sur les toilettes entrain de pousser, au saut du lit toute décoiffée, dans un champ entrain de trépigner ou sur les marches du palais. Sa mission la plus importante c'est toi et quoi que tu fasses il ne te lâchera pas. Et ce n'est pas parce que ses méthodes te déplaisent qu'il bougera d'un iota. Alors ou tu te prends pour Don Quichotte, ou tu poses ton séant jusqu'à ce que tu entendes ce qu'il a à te dire.
Et puisque nous sommes en toute intimité et sur le ton de la confidence, je t'avouerai que je ne vois pas pourquoi tu accepterais de vivre sans eau chaude ni chauffage. Ca ne me regarde pas tu me diras, mais je te répondrai que c'est ça aussi l'univers.
Il y a pour toi Sam et pour tous les autres, de l'eau chaude, du chauffage, du pain et tout le reste à disposition. Tu es en droit de dire, de te satisfaire, de te contenter ou de t'enorgueillir de supporter cet état de fait. Ou bien tu peux décider que toi aussi tu as droit à ta part, choisir de ne rien vivre en-deçà de ce en quoi tu as besoin ou crois.
Tout ne se fait pas en un jour mais pour ma part bien que cela soit un peu raide( même pour moi ), je fini par penser que celui qui fonctionne à contre sens se vautre dans ses impossibilités.
Je pourrai passer des heures à te raconter tout ce que j'ai vécu sans que cela fasse preuve, parce que tu l'auras pas vécu par toi même. J'aimerai pouvoir déposer à défaut d'une clé, un indice dans tes mains, mais je sais que tu es la seule à pouvoir découvrir les trésors qui te parlent de l'univers et sont enfouis en toi.
la seule bonne histoire que je vois à te raconter c'est celle ou je me suis sentie tellement bas, tellement lasse, tellement peureuse et impuissante que j'ai regardé l'univers en lui disant : "si toi tu sais, je t'écoute, montre moi le chemin , je suivrai la route quoi qu'il en coute" et de ce jour j'ai démarré une autre vie.
Mais celle-ci ne te servira pas non plus...
Aucun de nous ici ne sait la raison du pourquoi. Nous supposons, espérons t'apporter aide et soutien mais c'est avec toi qu'il faut discuter.
Si l'univers pourrit ta journée, c'est qu'il a une bonne raison. Tes évidences et obligations ne sont pas les priorités de l'univers. Si tu es responsable de tes animaux, lui il a un pacte avec toi qui remonte à la nuit des temps. Ecoute le comme un parent bienveillant ou fait le mur...à toi de voir...car pour qu'il te foute la paix tu peux courir ma belle !
Tendrement
Tara
Ps: J'ai trouvé ce petit texte dans ma boite aux lettres...
Ton pire ennemi, c’est toi.
Chaque fois que tu renonces, que tu doutes, que tu as peur, que tu n’oses pas... tu agis délibérément contre toi-même.
Chaque fois, tu tires sur le frein à main et c’est tout ton enthousiasme, toute ton énergie, toute ta belle et magnifique volonté que tu brimes.
Toutefois, ces moments de doutes et de renoncement peuvent être utiles.
Tu dois comprendre que tu n’aurais jamais eu de pensées négatives s’il n’y avait pas juste avant un désir positif.
C’est parce que tu veux la réussite, que tu penses : « Je n’y arriverai pas ».
C’est parce que tu aimes la vie, que tu penses : « C’est trop dur ».
C’est parce que tu aimes communiquer que tu penses : « Ils me fatiguent ! »
Si la réussite ne t’intéressait pas, y penserais-tu ?
Si tu te fichais de vivre heureux ou pas, y penserais-tu ?
Si l’intelligence relationnelle te passait par-dessus la tête, espérerais-tu des relations cordiales avec les autres ?
Les pensées négatives sont comme des petits drapeaux qui se lèveraient dès qu’arrivent une envie profonde, un désir soudain, une pulsion de vie, un immense espoir...
Pivoter, c’est rattraper au vol cette pensée positive et la réinstaller en soi.
C’est te réapproprier ta nature profonde, confiante et heureuse.