Bonjour Christ
J'ai suivi avec attention les différents échanges de cette conversation, et ce matin une idée me vient ... c'est juste mon idée, et elle ne vaut que mon avis, mais j'ai envie de la déposer dans ce fil.
christ a écrit :
Je reste environ 5 à 10 minutes et c'est vrai que ça me détend.
Toutefois, quelques heures après c'est encore pire qu'avant, je me sens oppressé, une boule au ventre et des bouffées de chaleur ?
christ a écrit :
Je me suis allongé et j'ai fait un auto-traitement au plexus 10 minutes, je me suis même endormi.
Mais une 1/2 heure après, un ami est arrivé et dès que j'ai commencé à lui parler, j'ai senti comme une oppression, des bouffées de chaleur et des étourdissements.
En plus, je suis intolérant à la chaleur, alors ça augmente encore les symptômes.
Je remarque que chaque moment t'appartenant vraiment, ces quelques minutes de mains posées sur toi, t'apportent un peu de paix. Tu es tranquille, seul, sans obligation, sans pression, et tu prends soin de toi.
Dès l'instant où la vie courante repart, avec entre autre, visites, contacts etc ... le mal être revient, voire s'amplifie. Il y a là un signe fort ... tu es bien avec toi-même, mais mal avec les autres, sans doute dans un comportement qui n'est pas toujours en respect avec tes propres rythmes ou aspirations.
Tant qu'un élément ne viendra pas rééquilibrer cette tendance, tu seras mal, car comme une cocotte minute sous pression ( bouffées de chaleur, intolérance à la chaleur), ça bouillonne en toi au point de te rendre la vie très inconfortable. Ces instants de répit que tu t'accordes par les auto-soins sont le chuchotement de la soupape de sécurité qui libère un peu de cette vapeur, et par conséquent, t'apporte de l'apaisement. Dès que le clapet se referme ... c'est reparti pour un tour
Observe ce phénomène, et cherche en toi, ce qui pourrait être fait, afin qu'un filet d'air subsiste en permanence, et désengage ce mal être chronique et récurent.
Cette oppression constatée au niveau de la gorge, est un point sensible pour nombre d'entre nous. C'est le siège de la parole, tant dans le non-dit, que le mal-dit, le retenu, l'inavouable, ou ce que l'on voudrait crier et qui ne sort pas ...
Je t'envoie de belles pensées réconfortantes pleines de Lumière
