Pour moi le lâcher prise, c'est quand j'ai fait tout mon possible dans une situation et que j'accepte que les conséquences soient ce qu'elles soient, j'accepte
l'idée qu'elles soient juste pour moi, même si à priori elles ne me conviennent pas. 
Le lâcher prise
Re: Le lâcher prise
Bonne nuit !
Pour moi le lâcher prise, c'est quand j'ai fait tout mon possible dans une situation et que j'accepte que les conséquences soient ce qu'elles soient, j'accepte l'idée qu'elles soient juste pour moi, même si à priori elles ne me conviennent pas.
Pour moi le lâcher prise, c'est quand j'ai fait tout mon possible dans une situation et que j'accepte que les conséquences soient ce qu'elles soient, j'accepte
l'idée qu'elles soient juste pour moi, même si à priori elles ne me conviennent pas. www.lamedetara.fr
www.facebook.com/tamalou.fr
www.facebook.com/tamalou.fr
Re: Le lâcher prise
¦¦¦ 
[c952A5D]Clémence[/c][c74B415]Grâce[/c][cB33649]Lâcher-prise[/c][cA58B33]Cordialité[/c][cB48B3B]Vitalité[/c]
oui
Tara, je remonte ce post et admire ta définition..oui
M. Hasard pour les étiquettesoui
André pour la phrase du jour : nous ne sommes que de passage.Mais quid du respect de soi, quand votre situation matérielle et sociale attirent sur vous des jugements et des "tu vois bien où ça t'a conduite..." et quand les "autres" "bien pensant" se taisent... l'écho de leur silence "compatissant" résonne ...
Le monde "économico-social" est aux mains de l'ultra capitalisme qui prévaut à la fois sur la santé de la
et aux destinées des peuples, ça n'a rien d'une découverte, mais hélas, la majorité de nos entourages ont le nez dans le guidon (pour oublier leur non-immortalité) et, au nom du plus grand nombre, il est difficile d'échapper aux mécanismes des systèmes qui broient ceux qui ne jouent pas le jeu et broient aussi (en sont-ils conscients, tous ?) ceux qui jouent le jeu ... il est difficile d'échapper aux jugements, "suppositions et commérages".... Je comprends bien les étiquettes de M. Hasard et la définition de Tara, avec ma tête... Mais comment être dans le lâcher-prise en pensant aux dégâts sur la
et les 
, sur les affamés du 1/3 monde...etc..Comment se résoudre à lâcher-prise quand après un 1/2 siècle de vie, après avoir rendu des "services" dans le travail social (15 ans), cherchant un autre mode de vie, on ne rencontre que rejet, négation de soi, exclusion et dépendance matérielle, avec en prime le sourire des esclaves (nez dans le guidon) heureux que votre exemple (négatif à leurs yeux) leur donne une raison de regarder plus attentivement leur trajectoire dans les rails tracée par d'autres pour eux...
Je suis désolée d'écrire ainsi sur ce forum, mais je pense que je ne suis pas la seule à ne pas avoir atteint un niveau de philo ou de lâcher prise suffisant..
Je serais heureuse de "rencontrer" la parole d'autres reikinautes traversant ou ayant traversé une période de "doutes" accentués par un contexte matériel et social, tel qu'ils aient eu le sentiment de ne plus se respecter eux-mêmes ... au vu des conséquences sur leur "liberté" d'agir (au sein du groupe humain) ... qui aient survécu à des revenus inférieurs à 500€, (dans nos pays industrialisés) en gardant une belle image d'eux ... en toute honnêteté... dans le monde "ici et maintenant" ...
Je souhaite retrouver une sérénité, un lâcher prise, on n'embauche plus une femme de 57 ans (je comprends que l'on donne priorité aux jeunes), j'ai un toit sur la tête, de quoi manger, mais je le paie de ma liberté... (sauf de penser) et surtout je ne suis pas la seule dans ce cas, il y a bien pire.
Et je n'arrive pas à accepter de lâcher prise et à accepter d'accepter ce qui est, pour ma dignité et pour celle de bien d'autres... de passage sur cette belle
encore pardon, mais je crois aussi qu'un forum n'est pas fait que pour échanger de douces pensées, même si c'est préférable..merci de votre compréhension
que la journée vous soit douce, malgré tout
pour ceux qui savent et peuvent lâcher prise 
-
Heartlight26
- Membre
- Messages : 314
- Enregistré le : 18.09.2012 21h41
- Localisation : LORRAINE - FRANCE
Re: Le lâcher prise
Bonsoir Gioia, 
Ton message est très touchant, et tellement universel...
Je me rends compte de + en + souvent que quel que soit le sujet dont on parle = on revient toujours au "lâcher-prise", difficile mais pourtant indispensable...
J'ai trouvé un site qui pourrait peut-être t'intéresser (il faut suffisamment d'ouverture d'esprit, évitant les a-priori...), je te le transmets en toute amitié: lien
[signaler]. (il n'est pas question de convaincre ni d'influencer, car ça s'adresse à l'humain en général ... pour moi, c'est 1 clin d'oeil faisant suite à mes recherches)
Et si tu prends le temps de lire les articles de ce site tu trouveras peut-être aussi des sujets de réflexion, ou des réponses...
A bientôt!
En te souhaitant un cheminement lumineux et apaisant...
Ton message est très touchant, et tellement universel...
Je me rends compte de + en + souvent que quel que soit le sujet dont on parle = on revient toujours au "lâcher-prise", difficile mais pourtant indispensable...
J'ai trouvé un site qui pourrait peut-être t'intéresser (il faut suffisamment d'ouverture d'esprit, évitant les a-priori...), je te le transmets en toute amitié: lien
[signaler]. (il n'est pas question de convaincre ni d'influencer, car ça s'adresse à l'humain en général ... pour moi, c'est 1 clin d'oeil faisant suite à mes recherches)Et si tu prends le temps de lire les articles de ce site tu trouveras peut-être aussi des sujets de réflexion, ou des réponses...
A bientôt!
En te souhaitant un cheminement lumineux et apaisant...
Heartlight26
Tout est dans tout...... et vice versa!
Tout est dans tout...... et vice versa!
Re: Le lâcher prise
Bonsoir gioia,
ton post m'a bien secouée, et dans le bon sens !
Je ne crois pas que tu aies à t'excuser de ton message, il est on ne peut plus réaliste.
On ne vit pas au pays des bisounours, et c'est comme ça.
A mon avis, tout est question de choix.
Je vis personnellement, dans un confort plus que minimum, et honnêtement, je m'en moque, car au moins, j'ai un toit au dessus de ma tête, je sais que je ne survivrais pas si je me retrouvais 'dans la rue'.
Je n'ai 'que' 2 pulls et 2 pantalons, mais toujours propres.
Je me doute bien de ce qui peut se dire ou se penser de moi, derrière mon dos, mais j'ai pris le parti de 'laisser couler'. La vie que je mène est mon choix, et me rend heureuse, qu'en pensent ce qu'ils veulent, les as du vélo, les accros de la performance et du paraître.
Je vis de très très peu, beaucoup trop peu, aux yeux des champions du nez dans le guidon, mais ça m'est égal, mes animaux, eux, ne manquent de rien.
Lâcher-prise, c'est pas si simple.
Pour moi, penser qu'une maman ne puisse plus nourrir son enfant, c'est juste insupportable.
Penser à ce qu'on fait à la planète, pareil.
Penser à la maltraitance animale, etc, c'est juste inacceptable.
Mais j'ai appris avec le temps, que je ne changerai pas le monde, que je peux juste me changer moi, et partant, contribuer au changement d'un édifice qui me dépasse.
Alors, j'essaie d'aider, de mon mieux, quand je peux.
En m'autorisant à ne pas pouvoir apporter LA solution, en m'autorisant à être juste moi, mais à ETRE MOI. Même si souvent, très souvent, trop souvent, je dois ravaler mes larmes, parce que je ne peux 'rien faire de plus', parce que je n'en ai pas les moyens, parce que malgré tous mes efforts, je n'ai pas LA baguette magique...
Lâcher-prise, dans ce cas, c'est peut-être arriver à se dire : ok, je fais de mon mieux, mais à l'impossible, nul n'est tenu. Et ce que les autres en pensent, peu importe, ça sert juste à alimenter mon ego.
Nul n'est le géant Atlas, portant la Terre sur son épaule.
Ce n'est pas notre job, je pense.
Notre job, c'est 'seulement' apprendre à être nous-mêmes, et si une porte se ferme, d'en chercher une autre, que nous puissions ouvrir, ou qui s'ouvre à nous.
Nous n'aurons jamais de reconnaissance, que celle que nous nous donnerons nous-mêmes.
Et crois bien que là, je pèse mes mots, j'en connais le poids, je sais combien ils sont lourds, très lourds, de sens, de souffrance, de vécu, mais aussi, et surtout, ... d'espoir
Le moteur de notre changement, c'est nous-mêmes, ce qui parle dans notre .
Notre dignité, c'est de nous interroger et de continuer à chercher.
ton post m'a bien secouée, et dans le bon sens !
Je ne crois pas que tu aies à t'excuser de ton message, il est on ne peut plus réaliste.
On ne vit pas au pays des bisounours, et c'est comme ça.
A mon avis, tout est question de choix.
Je vis personnellement, dans un confort plus que minimum, et honnêtement, je m'en moque, car au moins, j'ai un toit au dessus de ma tête, je sais que je ne survivrais pas si je me retrouvais 'dans la rue'.
Je n'ai 'que' 2 pulls et 2 pantalons, mais toujours propres.
Je me doute bien de ce qui peut se dire ou se penser de moi, derrière mon dos, mais j'ai pris le parti de 'laisser couler'. La vie que je mène est mon choix, et me rend heureuse, qu'en pensent ce qu'ils veulent, les as du vélo, les accros de la performance et du paraître.
Je vis de très très peu, beaucoup trop peu, aux yeux des champions du nez dans le guidon, mais ça m'est égal, mes animaux, eux, ne manquent de rien.
Lâcher-prise, c'est pas si simple.
Pour moi, penser qu'une maman ne puisse plus nourrir son enfant, c'est juste insupportable.
Penser à ce qu'on fait à la planète, pareil.
Penser à la maltraitance animale, etc, c'est juste inacceptable.
Mais j'ai appris avec le temps, que je ne changerai pas le monde, que je peux juste me changer moi, et partant, contribuer au changement d'un édifice qui me dépasse.
Alors, j'essaie d'aider, de mon mieux, quand je peux.
En m'autorisant à ne pas pouvoir apporter LA solution, en m'autorisant à être juste moi, mais à ETRE MOI. Même si souvent, très souvent, trop souvent, je dois ravaler mes larmes, parce que je ne peux 'rien faire de plus', parce que je n'en ai pas les moyens, parce que malgré tous mes efforts, je n'ai pas LA baguette magique...
Lâcher-prise, dans ce cas, c'est peut-être arriver à se dire : ok, je fais de mon mieux, mais à l'impossible, nul n'est tenu. Et ce que les autres en pensent, peu importe, ça sert juste à alimenter mon ego.
Nul n'est le géant Atlas, portant la Terre sur son épaule.
Ce n'est pas notre job, je pense.
Notre job, c'est 'seulement' apprendre à être nous-mêmes, et si une porte se ferme, d'en chercher une autre, que nous puissions ouvrir, ou qui s'ouvre à nous.
Nous n'aurons jamais de reconnaissance, que celle que nous nous donnerons nous-mêmes.
Et crois bien que là, je pèse mes mots, j'en connais le poids, je sais combien ils sont lourds, très lourds, de sens, de souffrance, de vécu, mais aussi, et surtout, ... d'espoir
Le moteur de notre changement, c'est nous-mêmes, ce qui parle dans notre
.Notre dignité, c'est de nous interroger et de continuer à chercher.
Don't worry, be happy 
Re: Le lâcher prise
:)Merci Sam et Heartlight26
Je n'ai pas envie de jouer les rabat-joie , merci de votre mansuétude, j'irai voir le site, et bravo à Sam (je pourrais développer, mais globalement, je ressens le besoin de te dire bravo)
Merci à Anaïs 2 pour ses MP... (encrage et centrage, merci du rappel, car au sens propre comme figuré on perd pied parfois...)
J'espère un jour croire assez en ma parcelle de divin pour aider autrui... merci à vous pour m'avoir soutenu chacun(e) à sa manière, j'ai l'impression d'avoir réussi à gravir une petite marche de plus grâce à votre aide
à tous
Je n'ai pas envie de jouer les rabat-joie , merci de votre mansuétude, j'irai voir le site, et bravo à Sam (je pourrais développer, mais globalement, je ressens le besoin de te dire bravo)
Merci à Anaïs 2 pour ses MP... (encrage et centrage, merci du rappel, car au sens propre comme figuré on perd pied parfois...)J'espère un jour croire assez en ma parcelle de divin pour aider autrui... merci à vous pour m'avoir soutenu chacun(e) à sa manière, j'ai l'impression d'avoir réussi à gravir une petite marche de plus grâce à votre aide
à tous
Re: Le lâcher prise
Bonsoir Gioa,
je me permet de te répondre bien que tu demande l'avis "des autres" parce que même si tu t'en fais l'idée contraire, je comprends au plus profond de moi ce dont tu parles et pour avoir vecu les mêmes méandres.
Entre temps ce qui a tout changé pour moi c'est la volonté quasi féroce de tout changer, y compris moi même.
Puisque rien ne me réussissait, que rien ne me souriait, il fallait que je change moi. Que je change non pas de garde robe, ni d'habitat, mais de façon de penser.
Jamais je ne saurai exprimer combien ce forum m'y a aidé. Si Amma a été le déclencheur, les mots journaliers de tout un chacun ici (même s'ils ne m'étaient pas adressés) m'ont permis d'entrevoir une autre route. Don Miguel Ruiz a fait sa part lui aussi, et le reiki a accompagné chacun de mes pas. C'est comme si j'avais effacé toute volonté de reproduire des schémas connus pour tenter de m'aventurer dans tous les sentiers qui me semblaient escarpés en sous bois.
Le lâcher prise correspond à une confiance totale en l'univers. Etre dans l'action de soi, en se respectant soi-même. Parfois cela semble vouloir dire déplaire à ceux qui nous entourent , mais cela ne signifie jamais renoncer à soi.
A première vue ça semble proche de l'égoïsme. Je pense à moi, je crois en moi, je me fais confiance, je m'accorde le droit à l'erreur, je, je, je, je, je, je....
Toute l'énergie de soi est tournée vers soi. Mais pour celui qui a du coeur, crois moi c'est bien autre chose encore. Je te parle là de l'effet papillon. Connais tu l'effet papillon ?
Impossible de sauver la planète, impossible d'avoir suffisamment de compassion pour tous les malheurs et malheureux du monde, impossible de venir en aide à autrui avant de s'être secouru soi-même. Chaque action commise pour soi, se répercute dans l'univers et s'étend sur le monde comme un édredon duveteux.
Regarde ce forum...je ne connais pas toute son histoire mais nul besoin d'être sorcier pour deviner qu'avant son existance il a fallut que son administrateur (André en occurrence) prenne soin de sa personne, acquiert les connaissances voulues en informatique, s'ancre, se forme au reiki, fasse sa route sur celui-ci, jusqu'à ce que lui vienne l'idée d'assembler toutes ses compétences pour créer un forum sur lequel chacun s'exprimerait sur divers sujets. Puis le forum est né. Il se répand en nous comme un goutte à goutte. Se distille sur le net avec "hazard"
. C'est aussi un bon créneau publicitaire pour ses initiations. L'univers retourne toujours envers toi et non pas contre toi, ce que tu produits. Chaque action est démultiplié.
Celui qui pense ne pas recevoir ce qu'il mérite (comme moi à un moment), est celui qui n'a pas encore compris combien l'univers lui fait signe et ce qu'il peut faire pour lui afin de se rendre grâce.
Combien d'entre nous trouvent ici une planche de salut, un havre de paix , un radeau nénuphar ? Si les "regards sur " d'André n'étaient pas ce qu'ils sont crois tu que ce serait la même chose ? André n'a pas sauvé le monde. Mais en prenant soin de lui, cela lui a permis de créer une action qui se répand.
Bon, ok, le forum, André, c'est le net et ça va vite. Mais c'est parce que tu es qui tu es et parce que tu fais ce que tu fais qu'une action en engendre une autre. C'est parce que les gens sont dans le besoin que certains ont créés les services sociaux, c'est parce que les gens ont besoin de rire qu'il existe les clowns, c'est parce que toi et d'autres achetez votre pain tous les jours que le boulanger peut vivre, qu'il paie des études à son fils et que celui-ci choisira de faire mécano; que le jour où ta petite fille tombera en panne qu'elle le rencontrera et l'épousera...non, allez, ça fait Walt Disney, disons qu'il la dépannera !
C'est une boucle. Il n'y a jamais aucune action inutile.
Petite, je croyais que si l'on était bon avec les autres, Dieu nous le rendait. Aujourd'hui je crois que ce n'est pas comme ça que ça marche.
Il y a des crapules qui vivent comme des pachas, ne vont même pas en prison et touchent 40 000 sur la case départ, et des gens qui n'écraseraient pas une araignée et ont des vies à la noix. Ce n'est pas la distribution des carte qui est injuste, mais ce que l'on en fait.
Alors aujourd'hui je crois , que le bien et le mal sont des choses relatives qui n'existent que dans la conscience des hommes (Cela ne veut pas dire que j'adhère, ni qu'il me semble juste de faire n'importe quoi). Mais cela signifie pour moi, que lorsque l'on s'occupe de soi, l'univers nous le renvoie, alors à ce moment là nous sommes aptes à nous tourner vers autrui.
"Lorsqu’une chose évolue tout ce qui est autour évolue de même."
P.Coelho
Si tu crois en l'univers comme en toi-même, alors tu verras que les cailloux sous tes pieds se transformeront en pétales de roses.
Dans la gamme "trucs et astuces", j'ai adopté une tactique qui me réussi assez bien. Lorsque j'entreprends quelque chose, j'essaie au moins une fois, si ça ne fonctionne pas, je tente une deuxième fois. J'ai arrêté d'essayer 3 fois: depuis j'ai compris que si quelque chose ne marche pas c'est qu'il ne faut pas le fait ou le faire différemment et à un autre moment. C'est un des clins d'oeil de l'univers.
Quant aux autres:
Tout le monde croit savoir exactement comment comment nous devrions vivre. Mais personne ne sait jamais comment il doit lui même vivre sa propre vie.
P.Coelho
Lorsque l’on voit toujours les mêmes personnes, elles finissent par vouloir transformer notre vie.
P.Coelho
Accepter ne veut pas dire se résigner. C'est ne pas se battre contre des moulins à vent, c'est avoir confiance (certains disent "la foi"-sans connotation religieuse).
Je te souhaite des pétales de roses.
Voici quelques phrases en cadeau:
Le changement profond ne vient pas de l'extérieur, mais bien de l'intérieur. La seule personne que je puisse donc changer est moi-même, et pour cela, pas besoin de baguette magique.
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Une devise : Réussir autrement
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………
L'être humain vieillit quand le rêve cède sa place aux regrets
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………..........
Les sentiers les plus beaux sont ceux que l'on explore, que l'on découvre
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
J'aime nager à contre courant, c'est ma manière d'apprendre et de croiser tant de monde
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
L'intelligence est la manifestation vivante de notre richesse intérieure
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La vague est une danse de l'éphémère sur l'océan de l'éternité
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
L'impermanence est l'essence même de la vie
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Dans le cœur il n'y a jamais d'impasse
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La vie est intense par sa fragilité
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Le détachement laisse place au mouvement naturel de la vie
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
L'autre ne pourra jamais combler ce que nous sommes incapables de nous offrir
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
Tout ce que nous pensons combattre chez autrui se situe à l'intérieur de nous
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Les vrais miracles ne viennent pas de l'extérieur, ils sont ceux que nous nous autorisons au plus profond de nous
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
La réalité n'est autre que le reflet de notre regard
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Tout ce qui divise nous affaiblit, ce qui réunit rend plus fort
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………………….
Se tromper soi-même est bien pire que de tromper qui que ce soit
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………………….
Rien n'est mal dès le moment où l'amour habite et nourrit nos actions
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
L'amour le plus pur est innocent, il ne mendie pas, il se vit sans attachement, sans attente, dans l'accueil inconditionnel
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La perfection de notre essence habite nos imperfections terrestres
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Obliger ou interdire nourrit l'irresponsabilité
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Être responsable consiste tout d'abord à ne pas nourrir ce que l'on désapprouve
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
Les clés des autres n'ouvrent pas mes portes
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La vie est un mouvement, ce qui compte c’est le chemin
A.Baechler
je me permet de te répondre bien que tu demande l'avis "des autres" parce que même si tu t'en fais l'idée contraire, je comprends au plus profond de moi ce dont tu parles et pour avoir vecu les mêmes méandres.
Entre temps ce qui a tout changé pour moi c'est la volonté quasi féroce de tout changer, y compris moi même.
Puisque rien ne me réussissait, que rien ne me souriait, il fallait que je change moi. Que je change non pas de garde robe, ni d'habitat, mais de façon de penser.
Jamais je ne saurai exprimer combien ce forum m'y a aidé. Si Amma a été le déclencheur, les mots journaliers de tout un chacun ici (même s'ils ne m'étaient pas adressés) m'ont permis d'entrevoir une autre route. Don Miguel Ruiz a fait sa part lui aussi, et le reiki a accompagné chacun de mes pas. C'est comme si j'avais effacé toute volonté de reproduire des schémas connus pour tenter de m'aventurer dans tous les sentiers qui me semblaient escarpés en sous bois.
Le lâcher prise correspond à une confiance totale en l'univers. Etre dans l'action de soi, en se respectant soi-même. Parfois cela semble vouloir dire déplaire à ceux qui nous entourent , mais cela ne signifie jamais renoncer à soi.
A première vue ça semble proche de l'égoïsme. Je pense à moi, je crois en moi, je me fais confiance, je m'accorde le droit à l'erreur, je, je, je, je, je, je....
Toute l'énergie de soi est tournée vers soi. Mais pour celui qui a du coeur, crois moi c'est bien autre chose encore. Je te parle là de l'effet papillon. Connais tu l'effet papillon ?
Impossible de sauver la planète, impossible d'avoir suffisamment de compassion pour tous les malheurs et malheureux du monde, impossible de venir en aide à autrui avant de s'être secouru soi-même. Chaque action commise pour soi, se répercute dans l'univers et s'étend sur le monde comme un édredon duveteux.
Regarde ce forum...je ne connais pas toute son histoire mais nul besoin d'être sorcier pour deviner qu'avant son existance il a fallut que son administrateur (André en occurrence) prenne soin de sa personne, acquiert les connaissances voulues en informatique, s'ancre, se forme au reiki, fasse sa route sur celui-ci, jusqu'à ce que lui vienne l'idée d'assembler toutes ses compétences pour créer un forum sur lequel chacun s'exprimerait sur divers sujets. Puis le forum est né. Il se répand en nous comme un goutte à goutte. Se distille sur le net avec "hazard"
. C'est aussi un bon créneau publicitaire pour ses initiations. L'univers retourne toujours envers toi et non pas contre toi, ce que tu produits. Chaque action est démultiplié. Celui qui pense ne pas recevoir ce qu'il mérite (comme moi à un moment), est celui qui n'a pas encore compris combien l'univers lui fait signe et ce qu'il peut faire pour lui afin de se rendre grâce.
Combien d'entre nous trouvent ici une planche de salut, un havre de paix , un radeau nénuphar ? Si les "regards sur " d'André n'étaient pas ce qu'ils sont crois tu que ce serait la même chose ? André n'a pas sauvé le monde. Mais en prenant soin de lui, cela lui a permis de créer une action qui se répand.
Bon, ok, le forum, André, c'est le net et ça va vite. Mais c'est parce que tu es qui tu es et parce que tu fais ce que tu fais qu'une action en engendre une autre. C'est parce que les gens sont dans le besoin que certains ont créés les services sociaux, c'est parce que les gens ont besoin de rire qu'il existe les clowns, c'est parce que toi et d'autres achetez votre pain tous les jours que le boulanger peut vivre, qu'il paie des études à son fils et que celui-ci choisira de faire mécano; que le jour où ta petite fille tombera en panne qu'elle le rencontrera et l'épousera...non, allez, ça fait Walt Disney, disons qu'il la dépannera !
C'est une boucle. Il n'y a jamais aucune action inutile.
Petite, je croyais que si l'on était bon avec les autres, Dieu nous le rendait. Aujourd'hui je crois que ce n'est pas comme ça que ça marche.
Il y a des crapules qui vivent comme des pachas, ne vont même pas en prison et touchent 40 000 sur la case départ, et des gens qui n'écraseraient pas une araignée et ont des vies à la noix. Ce n'est pas la distribution des carte qui est injuste, mais ce que l'on en fait.
Alors aujourd'hui je crois , que le bien et le mal sont des choses relatives qui n'existent que dans la conscience des hommes (Cela ne veut pas dire que j'adhère, ni qu'il me semble juste de faire n'importe quoi). Mais cela signifie pour moi, que lorsque l'on s'occupe de soi, l'univers nous le renvoie, alors à ce moment là nous sommes aptes à nous tourner vers autrui.
"Lorsqu’une chose évolue tout ce qui est autour évolue de même."
P.Coelho
Si tu crois en l'univers comme en toi-même, alors tu verras que les cailloux sous tes pieds se transformeront en pétales de roses.
Dans la gamme "trucs et astuces", j'ai adopté une tactique qui me réussi assez bien. Lorsque j'entreprends quelque chose, j'essaie au moins une fois, si ça ne fonctionne pas, je tente une deuxième fois. J'ai arrêté d'essayer 3 fois: depuis j'ai compris que si quelque chose ne marche pas c'est qu'il ne faut pas le fait ou le faire différemment et à un autre moment. C'est un des clins d'oeil de l'univers.
Quant aux autres:
Tout le monde croit savoir exactement comment comment nous devrions vivre. Mais personne ne sait jamais comment il doit lui même vivre sa propre vie.
P.Coelho
Lorsque l’on voit toujours les mêmes personnes, elles finissent par vouloir transformer notre vie.
P.Coelho
Accepter ne veut pas dire se résigner. C'est ne pas se battre contre des moulins à vent, c'est avoir confiance (certains disent "la foi"-sans connotation religieuse).
Je te souhaite des pétales de roses.
Voici quelques phrases en cadeau:
Le changement profond ne vient pas de l'extérieur, mais bien de l'intérieur. La seule personne que je puisse donc changer est moi-même, et pour cela, pas besoin de baguette magique.
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Une devise : Réussir autrement
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………
L'être humain vieillit quand le rêve cède sa place aux regrets
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………..........
Les sentiers les plus beaux sont ceux que l'on explore, que l'on découvre
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
J'aime nager à contre courant, c'est ma manière d'apprendre et de croiser tant de monde
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
L'intelligence est la manifestation vivante de notre richesse intérieure
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La vague est une danse de l'éphémère sur l'océan de l'éternité
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
L'impermanence est l'essence même de la vie
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Dans le cœur il n'y a jamais d'impasse
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La vie est intense par sa fragilité
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Le détachement laisse place au mouvement naturel de la vie
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………………………………
L'autre ne pourra jamais combler ce que nous sommes incapables de nous offrir
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
Tout ce que nous pensons combattre chez autrui se situe à l'intérieur de nous
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Les vrais miracles ne viennent pas de l'extérieur, ils sont ceux que nous nous autorisons au plus profond de nous
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
La réalité n'est autre que le reflet de notre regard
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Tout ce qui divise nous affaiblit, ce qui réunit rend plus fort
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………………….
Se tromper soi-même est bien pire que de tromper qui que ce soit
A.Baechler
………………………………………………………………………………………………………………….
Rien n'est mal dès le moment où l'amour habite et nourrit nos actions
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
L'amour le plus pur est innocent, il ne mendie pas, il se vit sans attachement, sans attente, dans l'accueil inconditionnel
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La perfection de notre essence habite nos imperfections terrestres
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Obliger ou interdire nourrit l'irresponsabilité
A.Baechler
……………………………………………………………………………………………………………………
Être responsable consiste tout d'abord à ne pas nourrir ce que l'on désapprouve
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
Les clés des autres n'ouvrent pas mes portes
A.Baechler
…………………………………………………………………………………………………………………..
La vie est un mouvement, ce qui compte c’est le chemin
A.Baechler
www.lamedetara.fr
www.facebook.com/tamalou.fr
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Re: Le lâcher prise
vraiment M.E.R.C.I. Tara !!! 
pour tout le "mal" 
(le "bien") que tu t'es donnée......Oui, même si les clefs d'André ou de P. Cuelho ne sont pas forcément les clefs de mes portes d'auto enfermement, je suis à l'écoute de leurs phrases et de leur écho en moi
merci de me les avoir offertes en couleur et tout ton grand et beau texte avec
Personnellement, je pense que les portes qui sont résistantes ne sont pas celles des mots et des idées.
C'est le ressenti... à moi de savoirs quelle peur, quelle chimère me masquent cette ouverture....
quelques entrebâillements m'ont éblouie à certains moments
...Intellectuellement, car, sur un forum, on s'exprime avec des mots et des idées... qui transmettent difficilement l'expérience sensorielle... Mentalement
donc, ce qui me parait difficile, c'est cet équilibre entre s'occuper de soi et l'égocentrisme, et être ouvert aux autres et la non-prise de pouvoir...(ö) je sais la Vie est une recherche perpétuelle d’Équilibre....
mais bon...Enfin, c'est sûr que déjà on perturbe moins les
et le en étant et dans le que lorsqu'on est tourmenté et sans réponse en tout cas Merci, à Toi, et
reikinautes qui ont pris la peine (décidément prendre du mal, prendre la peine.... , on voit bien que c'est pas "joyeux" d'accomplir une tâche (ö) dans le langage courant) 
pour tous un jour je me sentirai apte .... mais du fond du
... j'essaieRe: Le lâcher prise
...j'ai pris le TEMPS ....point de peine, ni de mal avec ce qui est fait avec legioia a écrit ::
en tout cas Merci, à Toi, et
.... ...dis , tu ne trouves pas que cela ressemble à une clé ça ?gioia a écrit ::
Personnellement, je pense que les portes qui sont résistantes ne sont pas celles des mots et des idées.
C'est le ressenti... à moi de savoirs quelle peur, quelle chimère me masquent cette ouverture....
quelques entrebâillements m'ont éblouie à certains moments ...
Tara
www.lamedetara.fr
www.facebook.com/tamalou.fr
www.facebook.com/tamalou.fr
Re: Le lâcher prise
Oh mais comme c'est joli toutes ces couleurs !
Parce que, oui ! même si les messages déposés ici pouvaient sembler un peu "gris", ils sont rempli de couleurs, et pas seulement dans le premier sens du terme. Les couleurs des questionnements, les couleurs de l'ouverture, les couleurs des échanges, celles des coeurs, etc.. quel bel arc-en-ciel !
Et puis, parce que mon ordi est configuré de telle sorte, je lisais la dernière intervention de Gioia sans me rendre compte que Tara avait déjà re-répondu, je faisais donc descendre la page pour cliquer sur répondre mais... ce que j'allais ajouter l'était déjà par Tara :
à savoir : Si on remplaçait "se donner du mal" par "se donner du temps" ? et si on remplaçait encore "prendre la peine" par "prendre du temps" ?
Et si on se disait que le temps donné ne coûte rien d'autre que le plaisir de le prendre parce que le sujet est intéressant, nous interpelle ou pour toute autre raison qui appartient à celui qui choisit en pleine conscience de prendre ce temps pour lui, pour l'autre, etc..
Gioa parle de la frontière entre prendre soin de soi et l'égoïsme ou égo-centrisme. Elle peut paraître si étroite et pourtant...
Se faire du bien à soi, c'est déclencher l'effet papillon du sourire, du bien être et de l'instant de bonheur. Prendre soin de soi, c'est montrer l'exemple. C'est aussi accepter de recevoir de l'autre, c'est encore se reconnaître dans le qui on est, avec sa ribambelle de qualités, traits de caractères, modes de fonctionnements, etc.. et là, on peut passer encore tout un arc-en-ciel de couleurs et de nuances dans chaque particule de soi.
L'égoïste prend toute la couverture pour lui sans se préoccuper de savoir si l'autre à froid. Celui qui prend soin de lui se couvrira suffisament et laissera la responsabilité à l'autre de s'approcher plus pour se tenir chaud ou de se lever pour prendre une autre couverture ou... d'aller dormir ailleurs.. Celui qui prend soin de soi choisira ce dont il a besoin sans le superflu, utilisera ses ressources pour avancer sans les "gaspiller", etc..
La frontière se trouve donc dans le respect de soi et de l'autre mais comment respecter l'autre sans se respecter soi ?
Il est si important, à mes yeux, de prendre bien conscience qu'à trop vouloir s'occuper de l'autre, en prendre soin, lui laisser toute la couverture etc.. on ne se respecte pas soi-même et on ne respecte pas l'autre dans la capacité à dire ses propres besoins ou même à les identifier puisqu'on va au devant de ses demandes. A trop vouloir faire le bien, on dépasse très souvent la frontière entre le bien et le mal (ces deux termes étant symboliques dans mon exemple. Je rejoins Tara dans cette notion du bien et du mal dont elle parlait plus haut, notion que j'ai si bien "comprise" lors de la conférence de Don Miguel et Don José Ruiz, il y a 2 semaines ).
Plein de soleil et de couleurs pour vous deux
Parce que, oui ! même si les messages déposés ici pouvaient sembler un peu "gris", ils sont rempli de couleurs, et pas seulement dans le premier sens du terme. Les couleurs des questionnements, les couleurs de l'ouverture, les couleurs des échanges, celles des coeurs, etc.. quel bel arc-en-ciel !
Et puis, parce que mon ordi est configuré de telle sorte, je lisais la dernière intervention de Gioia sans me rendre compte que Tara avait déjà re-répondu, je faisais donc descendre la page pour cliquer sur répondre mais... ce que j'allais ajouter l'était déjà par Tara
:à savoir : Si on remplaçait "se donner du mal" par "se donner du temps" ? et si on remplaçait encore "prendre la peine" par "prendre du temps" ?
Et si on se disait que le temps donné ne coûte rien d'autre que le plaisir de le prendre parce que le sujet est intéressant, nous interpelle ou pour toute autre raison qui appartient à celui qui choisit en pleine conscience de prendre ce temps pour lui, pour l'autre, etc..
Gioa parle de la frontière entre prendre soin de soi et l'égoïsme ou égo-centrisme. Elle peut paraître si étroite et pourtant...
Se faire du bien à soi, c'est déclencher l'effet papillon du sourire, du bien être et de l'instant de bonheur. Prendre soin de soi, c'est montrer l'exemple. C'est aussi accepter de recevoir de l'autre, c'est encore se reconnaître dans le qui on est, avec sa ribambelle de qualités, traits de caractères, modes de fonctionnements, etc.. et là, on peut passer encore tout un arc-en-ciel de couleurs et de nuances dans chaque particule de soi.
L'égoïste prend toute la couverture pour lui sans se préoccuper de savoir si l'autre à froid. Celui qui prend soin de lui se couvrira suffisament et laissera la responsabilité à l'autre de s'approcher plus pour se tenir chaud ou de se lever pour prendre une autre couverture ou... d'aller dormir ailleurs
.. Celui qui prend soin de soi choisira ce dont il a besoin sans le superflu, utilisera ses ressources pour avancer sans les "gaspiller", etc..La frontière se trouve donc dans le respect de soi et de l'autre mais comment respecter l'autre sans se respecter soi ?
Il est si important, à mes yeux, de prendre bien conscience qu'à trop vouloir s'occuper de l'autre, en prendre soin, lui laisser toute la couverture etc.. on ne se respecte pas soi-même et on ne respecte pas l'autre dans la capacité à dire ses propres besoins ou même à les identifier puisqu'on va au devant de ses demandes. A trop vouloir faire le bien, on dépasse très souvent la frontière entre le bien et le mal (ces deux termes étant symboliques dans mon exemple. Je rejoins Tara dans cette notion du bien et du mal dont elle parlait plus haut, notion que j'ai si bien "comprise" lors de la conférence de Don Miguel et Don José Ruiz, il y a 2 semaines
).Plein de soleil et de couleurs pour vous deux
Re: Le lâcher prise
C'est sympa, Gioia, mais 'y a vraiment pas de quoi, tu sais
Moi, j'ai plutôt l'impression d'avancer à l'allure d'un escargot sur-dopé aux somnifères, mais bon, j'avance, et pour une fois, je me donne le temps qu'il (me) faut
C'est effectivement une chose très importante, que j'ai oublié de mentionner hier (comme quoi, les réflexes ancestraux sont bien ancrés, eux !!! )
Car si j'ai pu me 'contenter' de faire 'seulement' de mon mieux, en cessant d'essayer de réaliser l'infaisable, c'est parce que je me suis - enfin ! - autorisée à me donner du temps, à prendre du temps pour moi, à me faire plaisir, à 'm'occuper' de moi. Et petit-à-petit, à y trouver un réel plaisir, et finalement, à en redemander Et pour cela, il n'est nul besoin de confort, ni de l'approbation de qui que ce soit d'autre que de soi-même.
J'ai mis un temps infini à le trouver, cet équilibre. Mais pour le moment, j'en ai trouvé un qui me convient. Ni trop, ni trop peu. Et c'est cela qui me permet d'envisager le "changement" en moi, non pas comme une 'guerre' à mener contre certaines parties de moi, mais plutôt comme une paix à instaurer entre moi et moi. En me posant les 'bonnes' questions, les seules qui vaillent la peine de réfléchir, en toute honnêteté envers moi-même (j'allais dire 'rigueur', au sens de rigueur scientifique, càd, en toute simplicité et objectivité, sans me juger, et surtout, sans me condamner par avance ...).
Et cela a l'air de marcher.
Effet papillon ?
Je n'en sais rien, mais toujours est-il que je n'ai jusqu'à présent, jamais rencontré autant d'inconnus qui me disent bonjour avec le sourire !!!! J'en reste 'baba' bien souvent !
Ah oui, encore une chose ...
En rapport avec ceci :
Cela m'a fait repenser à l'image de la vague que Martine détaillait il y a peu.
Chacun reçoit de notre apparence ou de notre situation financière et sociale, ce qu'il veut. Il en fait ce qu'il veut, cela lui appartient, de juger, de se questionner, peut-être de comprendre, peut-être pas. Et lui-même, à son tour, nous renvoie une vague, un message. A nous d'en faire ce que nous voulons. Là, c'est à nous, que cela appartient. On peut s'arrêter un instant, réfléchir, se questionner, ça fait toujours avancer. Mais au final, c'est à nous de 'décider'. Simplement rester fidèle à nous mêmes, ou 'capituler' en quelque sorte, et essayer de 'rentrer' dans un moule qui n'est vraisemblablement pas à notre taille
Alors je me dis : c'est MA vie (enfin, celle-ci ...). Quoi que je fasse, il y en aura toujours pour me donner 100.000 bonnes raisons d'avoir tort. Eh bien tant pis.
Si je suis ici et maintenant, c'est que mon âme a accepté le deal, le karma. Alors, j'essaie surtout de m'écouter (comme quoi, tout peut arriver
) et de suivre mon petit sentier à moi, parfois escarpé, parfois me conduisant à de magnifiques points de vue, parfois très très difficile, mais tellement riche, parce que, simplement, c'est le mien.
Moi, j'ai plutôt l'impression d'avancer à l'allure d'un escargot sur-dopé aux somnifères, mais bon, j'avance, et pour une fois, je me donne le temps qu'il (me) faut
Se faire du bien à soi, c'est déclencher l'effet papillon du sourire, du bien être et de l'instant de bonheur ......... c'est encore se reconnaître dans le qui on est, avec sa ribambelle de qualités, traits de caractères, modes de fonctionnements, etc.. et là, on peut passer encore tout un arc-en-ciel de couleurs et de nuances dans chaque particule de soi.
C'est effectivement une chose très importante, que j'ai oublié de mentionner hier (comme quoi, les réflexes ancestraux sont bien ancrés, eux !!!
)Car si j'ai pu me 'contenter' de faire 'seulement' de mon mieux, en cessant d'essayer de réaliser l'infaisable, c'est parce que je me suis - enfin ! - autorisée à me donner du temps, à prendre du temps pour moi, à me faire plaisir, à 'm'occuper' de moi. Et petit-à-petit, à y trouver un réel plaisir, et finalement, à en redemander
Et pour cela, il n'est nul besoin de confort, ni de l'approbation de qui que ce soit d'autre que de soi-même.cet équilibre entre s'occuper de soi et l'égocentrisme
J'ai mis un temps infini à le trouver, cet équilibre. Mais pour le moment, j'en ai trouvé un qui me convient. Ni trop, ni trop peu. Et c'est cela qui me permet d'envisager le "changement" en moi, non pas comme une 'guerre' à mener contre certaines parties de moi, mais plutôt comme une paix à instaurer entre moi et moi. En me posant les 'bonnes' questions, les seules qui vaillent la peine de réfléchir, en toute honnêteté envers moi-même (j'allais dire 'rigueur', au sens de rigueur scientifique, càd, en toute simplicité et objectivité, sans me juger, et surtout, sans me condamner par avance ...).
Et cela a l'air de marcher.
Effet papillon ?
Je n'en sais rien, mais toujours est-il que je n'ai jusqu'à présent, jamais rencontré autant d'inconnus qui me disent bonjour avec le sourire !!!! J'en reste 'baba' bien souvent !
Ah oui, encore une chose ...
En rapport avec ceci :
Mais quid du respect de soi, quand votre situation matérielle et sociale attirent sur vous des jugements et des "tu vois bien où ça t'a conduite..." et quand les "autres" "bien pensant" se taisent... l'écho de leur silence "compatissant" résonne
Cela m'a fait repenser à l'image de la vague que Martine détaillait il y a peu.
Chacun reçoit de notre apparence ou de notre situation financière et sociale, ce qu'il veut. Il en fait ce qu'il veut, cela lui appartient, de juger, de se questionner, peut-être de comprendre, peut-être pas. Et lui-même, à son tour, nous renvoie une vague, un message. A nous d'en faire ce que nous voulons. Là, c'est à nous, que cela appartient. On peut s'arrêter un instant, réfléchir, se questionner, ça fait toujours avancer. Mais au final, c'est à nous de 'décider'. Simplement rester fidèle à nous mêmes, ou 'capituler' en quelque sorte, et essayer de 'rentrer' dans un moule qui n'est vraisemblablement pas à notre taille
Alors je me dis : c'est MA vie (enfin, celle-ci ...). Quoi que je fasse, il y en aura toujours pour me donner 100.000 bonnes raisons d'avoir tort. Eh bien tant pis.
Si je suis ici et maintenant, c'est que mon âme a accepté le deal, le karma. Alors, j'essaie surtout de m'écouter (comme quoi, tout peut arriver
) et de suivre mon petit sentier à moi, parfois escarpé, parfois me conduisant à de magnifiques points de vue, parfois très très difficile, mais tellement riche, parce que, simplement, c'est le mien. Don't worry, be happy
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