Re: Colère
Posté : 19.07.2013 17h15
Bonjour
D'un naturel plutôt calme, j'ai pourtant vécu cette semaine un épisode de colère assez mémorable
Du désagrément facilement gérable, à l'impatience, puis à l'explosion, le cran est monté, lorsque la personne venue m'aider à quelques gros travaux de jardinage a délibérément décidée d'inaugurer sa nouvelle tondeuse à gazon, puis de raser les bordures d'allée jusqu'à la terre, éradiquant le trèfle de mes petits bourdons, les herbes matinales gorgées de rosée pour mon petit canard et surtout une bonne partie des pois de senteurs plantés par mon petit-fils aux vacances de Pâques
J'entendais que la machine qui ronflait débroussaillait l'extérieur du terrain pour dégager l'espace de passage le long du champ de blé, et aplanir le champ de ronces pour accéder aux framboisiers aussi quelle stupeur en voyant la poussière et le terrain nu
Réponse du "coupable" : "Je fais un travail de pro", tous muscles en avant, et bien fier de lui !!!!
Il y avait eu quelques précédents contrariants, mais à chaque fois, je ne voulais pas paraître pénible avec mes réflexions, donc, je restais zen, mais cette fois, j'ai trouvé que Maurice poussait un peu trop loin le bouchon
Résultat des courses, je vais me contenter de mon petit travail d'amateur qui respecte mes envies, même si elles ne sont pas dans les normes, et pour ne pas me fâcher davantage, mettre de l'espace dans le relationnel afin de ne pas refaire monter la mayonnaise
Je crois que ce qui m'a mise en colère, c'est de faire, et mal faire, ce dont je suis capable de faire moi-même, et par contre de me laisser dans la peine des tâches que je ne peux pas bien faire, et surtout dont je manque d'équipement de protection.
Ajouter à cela un hébergement un peu intrusif et vous aurez le tableau d'un cas d'école à retenir
La tolérance est une qualité, le calme aussi, mais parfois, cela renvoie en fait, à une acceptation des choses, aussi il est bon de faire connaître ses limites avant que le couvercle de la cocotte ne saute
D'un naturel plutôt calme, j'ai pourtant vécu cette semaine un épisode de colère assez mémorable
Du désagrément facilement gérable, à l'impatience, puis à l'explosion, le cran est monté, lorsque la personne venue m'aider à quelques gros travaux de jardinage a délibérément décidée d'inaugurer sa nouvelle tondeuse à gazon, puis de raser les bordures d'allée jusqu'à la terre, éradiquant le trèfle de mes petits bourdons, les herbes matinales gorgées de rosée pour mon petit canard et surtout une bonne partie des pois de senteurs plantés par mon petit-fils aux vacances de Pâques
J'entendais que la machine qui ronflait débroussaillait l'extérieur du terrain pour dégager l'espace de passage le long du champ de blé, et aplanir le champ de ronces pour accéder aux framboisiers aussi quelle stupeur en voyant la poussière et le terrain nu
Réponse du "coupable" : "Je fais un travail de pro", tous muscles en avant, et bien fier de lui !!!!
Il y avait eu quelques précédents contrariants, mais à chaque fois, je ne voulais pas paraître pénible avec mes réflexions, donc, je restais zen, mais cette fois, j'ai trouvé que Maurice poussait un peu trop loin le bouchon
Résultat des courses, je vais me contenter de mon petit travail d'amateur qui respecte mes envies, même si elles ne sont pas dans les normes, et pour ne pas me fâcher davantage, mettre de l'espace dans le relationnel afin de ne pas refaire monter la mayonnaise
Je crois que ce qui m'a mise en colère, c'est de faire, et mal faire, ce dont je suis capable de faire moi-même, et par contre de me laisser dans la peine des tâches que je ne peux pas bien faire, et surtout dont je manque d'équipement de protection.
Ajouter à cela un hébergement un peu intrusif et vous aurez le tableau d'un cas d'école à retenir
La tolérance est une qualité, le calme aussi, mais parfois, cela renvoie en fait, à une acceptation des choses, aussi il est bon de faire connaître ses limites avant que le couvercle de la cocotte ne saute